nom ✘ macleod, le clan dont la branche est située le plus au sud des northern highlands, celle-ci même qui a donné Elinor en tant que future reine à Fergus Dunbroch. prénom ✘ saoirse, il s'agit du prénom de sa grand-mère maternelle, morte peu avant sa naissance. clan ✘ dunbroch. âge ✘ vingt-neuf ans, elle redoute l'arrivée de ses trente ans. statut ✘ veuve, à nouveau promise. famille ✘ Deaglán Macleod (56 ans), chef du clan, c'est un homme redoutable et très stratégique dont la loyauté envers les Dunbroch est infaillible. Elinor Dunbroch, née Macleod, soeur de Deaglán, décédée. Myrcella Macleod, épouse de Deaglán, décédée suite à une grave maladie lors de l'hiver de 1117. Adnae Macleod (35 ans), fils de Deaglán et Myrcella, héritier direct des Macleod. Nolan Macleod (30 ans), fils de Deaglán et Myrcella, petit frère de Adnae, héritier. Keane Macleod (24 ans), fils de Deaglán et Myrcella, petit frère de Adnae, Nolan et Saoirse, héritier. métier/rang ✘ héritière des Macleod. qualités ✘ attentionnée – courageuse – surprenante – extravertie – passionnée - fière - protectrice - instruite - drôle défauts ✘ cynique – curieuse – émotive – trop franche – impulsive - fuit son destin - sensible loyal(e) envers ? ✘ le clan macleod, évidemment, et ensuite les dunbroch. groupe ✘ northern highlands. avatar ✘ lena headey.

QUE PENSES-TU DE CETTE GUERRE ? Depuis toujours, la maison Macleod sert les Dunbroch, et lui ont portés fidélité. Ce n'est pas maintenant que ça va changer, encore moins avec les héritiers de Deaglàn. Comme son père, Saoirse pense que cette guerre est idiote, pourquoi tout le pays devrait à présent se mettre en guerre pour récupérer un trône qui n'est pas le leur ? L'héritière est Merida Dunbroch. Personne d'autre. Mais si maintenant il faut entrer en guerre, c'est pour les Dunbroch que les Macleod se battront. Si certains disent que les femmes n'ont pas leurs places sur le champs de bataille, c'est bien se tromper en connaissant Saoirse. Elle a un esprit à ne pas négligé, surtout en ces temps. Pour la famille Macleod, le pouvoir doit être détenu par les Dunbroch pour que le royaume prospère. Alors s'il faut mener la guerre contre les autres clans pour ça, ils ne se laisseront pas vaincre.
TU CROIS AUX LÉGENDES, À LA MAGIE ?Saoirse tente d'être terre-à-terre, d'oublier un peu tous ces mythes et autres malédictions en se persuadant que ce sont des histoires pour enfants. Son père les lui contait lorsqu'elle était petite, et à présent, elle sait que ça a grandit avec elle, au fond d'elle une part s'accroche volontiers à la magie de l'Ecosse. Mais d'un autre... C'est beaucoup plus difficile, elle fait en sorte de paraître forte devant sa famille et son entourage en disant que ce ne sont que des bêtises. En réalité, elle redoute beaucoup de se retrouver nez à nez avec un feu follet et devoir affronter son destin, elle ne se sent littéralement pas prête pour ça. C'est certainement pour s'occuper l'esprit qu'elle a préféré s'entraîner aux armes que de rester auprès de sa mère a lui faire la lecture de tous ces stupides contes.
DES GOÛTS ET DES COULEURS, IL NE FAUT DISCUTER Saoirse a toujours trouvé un intérêt aux armes, surtout à l'épée, elle échangeait volontiers sa place avec son frère pour pouvoir s'entraîner un peu. Jusqu'à ce qu'on l'accepte parmi les hommes, rigolant de sa maladresse et finalement s'en mordant les doigts avec l'expérience acquise. Elle ne se laisse pas démonter lorsqu'il s'agit d'encaisser les blagues que font la plupart des hommes au sujet d'une femme avec une arme en main. Il n'empêche qu'elle ne crie pas sur tous les toits qu'elle sait manier une arme, et elle en porte encore moins sur elle. En apparence, elle a tout d'une parfaite lady, elle a juste un petit penchant pour les armes. ▲ Une autre chose qu'elle apprécie, il s'agit du vin. Peut-être parce que son père ne faisait pas de distinctions en servant tout le monde à table, adultes, enfants, filles, garçons. Mais depuis ce moment là, Saoirse est tombé sous le charme du goût particulier de cette boisson. Il se trouve aussi que le vin adoucit un peu la peine, c'est salutaire dès fois. ▲ Et enfin, Saoirse aime les femmes. Elle ne sait pas quand ça lui est venu, mais elle se rappelle bien des fois où ses frères devenaient fous en voyant une fille passée devant eux, et elle se rappelle aussi de la sensation qui lui traversait le corps. Cette tendance n'est certainement connue que de peu de personnes, son frère Nolan, dont elle est le plus proche, est au courant. ▲ Depuis toute petite, Saoirse a une peur bleue des chevaux, causée par une chute. Elle les monte pour voyager, évidemment, mais elle s'inquiète dès que l'animal montre un signe d'énervement. Il y aussi les oiseaux qui lui font cet effet là, elle préfère les voir empaler sur ses flèches que de les voir voler près d'elle. ▲ Saoirse est incollable sur les fleurs. A défaut de lire les contes et la mythologie de l'Ecosse, elle s'est penchée sur les fleurs du pays. Et elle est parfaitement au point sur le sujet, au point de connaître chaque particularité des fleurs, et surtout aussi leurs propriétés. Elle sait exactement quelle fleur est un poison, et laquelle on peut offrir sans risquer de tuer la personne en face.
ET DANS DIX ANS ? Dix ans ? C'est trop loin. Beaucoup trop loin. Saoirse ne veut pas se projeter là-dedans, elle en serait in capable. Elle pense qu'elle aura des enfants, certainement mariée à son nouvel époux, quelque chose pour que son père soit fier d'elle. Même si ce n'est pas la vie dont elle rêve elle, mais elle n'a pas son mot à dire quand il en vient au chef de famille. Elle ne veut pas savoir son destin. Elle rêverait d'être chef de famille, pouvoir marier qui elle souhaite, devenir une reine des poisons. Elle imagine beaucoup trop de choses, et elle sait que ce ne sera pas possible, alors elle ne veut pas savoir ce qui l'attend.

saoire, 16 ans, nolan, 17 ans, adnae, 22 ans, keane, 11 ans.

« Tu tiens ton épée comme une fillette, Keane ! Tu veux te battre contre Saoirse ? » lance Aedan en rigolant, son épée en bois serrée dans sa main, et le voilà qui recommence à faire quelques feintes vers leur petit frère. Nolan et Saoirse regardent la scène, de loin, et elle tique un peu en entendant son prénom. Son frère était-il entrain d'insinuer qu'elle se battait comme une fillette ? Elle avait à présent seize années révolues, elle n'était plus une enfant et elle savait parfaitement manier leur épée. Et tout ça était ennuyant, très ennuyant même. C'est pourquoi elle se met à bailler juste quand Aedan pose son regard sur elle avant de sourire un peu, elle donne un léger coup de coude à Nolan pour le réveiller et elle empoigne l'épée de bois à ses côtés avant de se ruer vers eux. Aedan pare son coup, se déplace agilement sur la droite, feinte à gauche. Saoirse bloque à droite, recule d'un pas, frappe. Il pare, cogne, et l'épée de bois s'envole plus loin. La sienne se pose sur le cou de sa sœur. « C'était bête de courir comme ça. » « Tu marches sur ma robe. » Elle siffle, légèrement ennuyée, puis elle croise ses bras sous sa poitrine. Aedan recule d'un pas et elle tire sa robe de là, pleine de boue à présent. Elle se mordille la lèvre un instant, elle sait pertinemment que sa mère va encore la reprendre à l'ordre pour sa robe. Et surtout parce qu'elle assiste aux entraînements alors qu'elle devrait plutôt faire la lecture. Quelque chose de plus féminin. Saoirse se retourne alors, le menton haut, et avance d'un pas. Et là, elle entend le crac. Le bruit que fait sa robe lorsqu'elle se déchire. Aussitôt elle se retourne et repousse Aedan. « Je t'avais dis d'enlever tes pieds ! » Son frère recule et elle regarde les dégâts. Elle va se faire passer un sacré savon. A moins qu'elle arrive à temps dans sa chambre pour se changer. Saoirse jette un regard noir à son frère et la voilà déjà partie, tenant sa robe entre ses mains, elle monte les escaliers en vitesse. Et quand elle est enfin dans sa chambre, elle tente de se débarrasser de sa robe. Elle manque de s'étouffer en coinçant sa tête dedans, et finalement elle la retire et la cache sous son lit. Il ne lui faut pas longtemps pour enfiler une nouvelle robe et elle regagne son lit, attrape le premier livre qui lui tombe sous la main et l'ouvre. Elle entend déjà les pas de sa mère dans le couloir, et quelques secondes plus tard, elle est là, dans sa chambre, à l'observer. « Je lis. » lâche Saoirse avec un sourire en coin, comme si ce n'était pas évident. Ca ne l'était sans doute pas. Mais elle lève l'énorme livre pour le montrer à sa mère. « Ce n'est pas les contes que je t'avais demandé de lire. » Elle baisse un instant son regard sur son livre. Effectivement, non, c'était bien loin des contes, c'était des fleurs. Beaucoup mieux que tout ce qu'elle pouvait trouver dans les livres, beaucoup, beaucoup mieux. Alors elle redresse son regard et elle hausse les épaules. « Ca reste de la lecture, non ? » Sa mère sourit un peu, hausse les épaules, et finit par sortir de la chambre.

saoirse, 21 ans, nolan, 22 ans.

La porte se referme doucement, presque sans bruit, au point que Saoirse ne se doute presque pas de la présence étrangère dans sa chambre. Mais rapidement elle reconnaît l'odeur, reconnaît la silhouette dans l'obscurité. Elle se redresse dans son lit et repousse les draps, elle n'a pas eu à s'inquiéter trop longtemps, elle n'a pas peur quand elle le voit s'approcher. Et un sourire dessine doucement ses lèvres, c'est un sourire léger, en coin, un peu brisé. « Nolan... » chuchote-t-elle, comme pour être sûre qu'il s'agisse bien de son frère. Elle n'a pas de doute à avoir, elle le reconnaîtrait entre mille personnes, mais c'est pour se rassurer quelque part. Il est bien là, son chevalier est là, elle n'a rien à craindre. Elle n'a plus besoin de se recroqueviller dans un coin de son lit et attendre, respirer difficilement et pleurer. Il n'est plus question de ça, pas maintenant qu'il est là pour la protéger. Elle sent son cœur tambouriner contre sa poitrine, comme s'il cherchait à tout casser, à s'enfuir. Elle peut respirer. Et c'est étrange de penser ça, elle en pleurerait presque de joie. La voilà qui se décale un peu dans son lit pour lui faire de la place, elle montre l'emplacement à ses côtés d'un revers de main, elle ressemble a une enfant à qui on fait une surprise. « Où est ton mari ? » demande Nolan d'une voix amusée, alors que les traits de Saoirse changent pour se renfrogner, pour passer un peu de peur. Quel imbécile il fait. Elle se redresse un peu, relève sa main, elle se serre automatiquement en poing, prête à frapper. Elle a envie de lui cogner dessus, lui faire ravaler ces mots, stupides mots. Mais lorsqu'elle le voit se glisser à ses côtés, sa main retombe doucement et elle détourne le regard. « Il est partit pour des affaires au sujet de la guerre, tu seras bientôt appelé toi aussi. » Son frère hausse les épaules et suspend son épée au lit avant de s'étaler de tout son long dans la place que lui a offerte sa sœur. Cette dernière le regarde faire, elle n'ose même plus bouger, elle passe ses bras autour de ses jambes et regarde Nolan, essaye de ne pas craquer, de ne pas avoir peur à nouveau. Elle ne pense pas à la guerre non plus, elle oublie, rien que pour un soir. « Et pendant qu'il part, tu me proposes son propre lit ? Tu es une sœur ravissante, Saoirse. » Il omet le fait que lui aussi devra bientôt partir, et il se mordille la lèvre un instant, contemple toujours ce satané plafond. C'est clair, il n'aime déjà pas cette pièce. Il n'aime pas ce lit trop grand, ce lit abominable où il s'est passé des choses... Rien que d'y penser, son poing se serre. S'il avait pu être là pour empêcher tout ça, il l'aurait fait, quitte à trancher une gorge. Mais il sait que ce tempérament impulsif lui aurait fallu beaucoup, d'après leur père, il est ''naturel'' que les choses se passent ainsi. Pour Nolan, beaucoup moins. Ce n'est pas normal de forcer une femme si elle n'en a pas envie, encore plus si cette femme est sa sœur. Elle n'a jamais aimé les hommes, et avec celui qu'elle se traîne pour mari, comment peuvent-ils avoir une chance de regagner son cœur ? Nolan ne peut s'empêcher de rire. C'est un rire sec qui fuse dans la chambre alors qu'il se passe une main sur le visage et il ferme les yeux un instant. Saoirse sursaute, intriguée par ce rire, et elle tourne un instant son regard vers son frère, elle hausse un sourcil. Elle ne sait pas pourquoi il a l'air si... amusé ? Elle n'est même pas sûre que ce soit le mot adapté. « S'il te retouche un jour, je le tue. » La phrase tombe. Saoirse détourne son regard, elle sait bien, tout comme Nolan, que c'est strictement impossible. Elle est obligée d'endurer ça, encore et encore. Jusqu'à un jour salutaire. Mais elle ne dit rien, elle se contente de se glisser sous les draps et de se coucher sur le ventre. « Et si on dormait, j'ai besoin d'une bonne nuit de sommeil. » Sans son mari. Nolan hoche la tête en silence et ferme ses yeux, bientôt imité par Saoirse qui réfléchit encore, dans son lit, elle se pince les lèvres un instant. Mais la présence de son frère la rassure et il ne lui faut pas longtemps pour tomber endormie.

saoirse, 27 ans.

On serre, on l'étouffe, elle sent son corps se comprimer, il lui est impossible de respirer. Mais elle ne dit rien, elle regarde son reflet dans le miroir, elle a l'impression qu'on va la casser en deux dans cette robe. Mais elle ne dit toujours pas un mot. Et quand elle est prête, Saoirse se lève de sa chaise et marche vers la porte de sa chambre. C'est presque difficile de faire un pas, puis deux. Elle pose sa main sur la poignée de la porte et inspire lentement, elle se prépare. Et lorsqu'elle ouvre la porte, un masque impassible compose ses traits. Son regard tombe sur Nolan, puis sur Adnae et Keane, et enfin sur leur père. Elle ne dit rien, elle se contente de marcher derrière eux. « Le noir ne te met pas en valeur, ma sœur. » lui murmure Nolan à l'oreille, toujours ce petit sourire moqueur au coin des lèvres. Mais Saoirse ne répond rien, elle se contente de poser sur lui un regard pour lui intimer de se taire. C'est difficile. Et elle suit sa famille jusqu'à la grande cour, jusqu'à l'imposant cercueil. Le prieur commence à parler, et Saoirse joint ses mains, elle ferme un instant ses yeux. Elle sent le regard de son frère sur son bras, et elle sait très bien que c'est la fine cicatrice sur son bras qu'il observe, un résultat d'une dispute avec son ancien mari, sans aucun doute. Alors elle redresse un peu son visage vers lui, mais au même moment, la voix de son père retentit à ses côtés. « Au bout de six ans de mariage, tu n'as toujours pas eu d'enfants de cet homme, tu aurais pu avoir un héritier, des terres. Je commence à penser que tu es incapable de- » « C'est lui qui ne s'y prenait pas comme il fallait. » Son ton est impassible et sa main se porte sur son ventre, plus par réflexe qu'autre chose. Il lui était facile de se concocter un thé à base de plantes diverses qui lui empêcherait d'avoir un enfant. Et elle n'a pas hésité à l'utiliser à maintes reprises. Certes, elle doit avoir des enfants, mais jamais elle n'accepterait d'en avoir d'une telle personne. Saoirse regarde le cercueil, elle sent les larmes lui monter, elle se dit quelque part qu'elle est libre, enfin. Et ça la rassure un peu. « Crois moi que tu auras à peine mis un pied hors de cette cour que tu auras déjà un nouvel époux. » Elle détourne le regard et commence à suivre le cortège, elle sait très bien que son père ne va pas hésiter et la remarier. Mais cette fois, elle espère qu'il sera compréhensible, moins violent peut-être. Sinon, elle recommencera. Et son regard se plante sur le cercueil. Déjà une fois, pourquoi pas une deuxième, si jamais cet homme est aussi horrible... Six ans de calvaire était suffisant. Saoirse n'en voulait plus. Et elle a fait appel a la plante la plus dangereuse qu'il soit : l'Aconit Napel. Il lui avait été aisé d'en découper finement les racines et de se rendre dans les cuisines pour en jeter dans leur repas du soir sans qu'ils s'en aperçoivent. Après le reste n'avait été que comédie, sourire, faire semblant de manger, boire plus de vin que de raison. Et c'est quelques heures après que les premiers symptômes sont apparus, les sueurs, le développement de la pupille. Saoirse les a immédiatement reconnus, mais elle n'a que suggérer un coup de froid. Jusqu'à ce que la paralysie des systèmes vitaux commencent. Elle a crié, elle a fait semblant d'avoir peur, de pleurer, alors que les soigneurs ne pouvaient plus rien pour lui. Il n'existe pas de remède à ce mal. Et à présent, le voilà ici. Et elle regarde le cercueil sans rien dire, elle en a oublié le déroulement de tout ça. « Amen. »

the gods have no mercy, that's why they are gods.

pseudo ✘ mermaid motel. prénom ✘ morgane. âge ✘ bientôt 21 où avez-vous trouvé le forum ? ✘ dans ma poche ! comment le trouvez-vous ? ✘ odisqpdoqpadosdipsodspdo. et le design, dear lord ! présence sur le forum ✘ 7j/7. autre chose à dire ? ✘ je n'ai pas résisté, je suis faible.

Parfait alors.

Bravo à toi mon enfant, comme tu dois le deviner : tout est parfait pour que tu puisses tranquillement te balader sur les terres d’Écosse. Avant toute chose, il va falloir faire quelques petites manipulations. Et oui ! Alors, pour commencer, nous te prions s'il te plaît d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas te le faire sucrer, sans le faire nous ne pourrons pas mettre à jour le bottin, puis aussi ta famille si tu as choisis un clan dans les annexes. Pour continuer va donc faire un tour du côté des liens, qui sait ça pourra t'aider à forger des affinités pour ton personnage et dieu seul sait quoi d'autres ! D'ailleurs en parlant d'affinités, si tu as envie de créer un scénario, ça se passe dans ce petit coin là sait-on jamais si l'envie te dit ! Et plus qu'un petit point à savoir, jette toi à l'eau en ce qui concerne le flood, y faire un petit tour pour bien s'intégrer et décompresser un petit peu.

Sur ce, tout le staff de WOTW te souhaite de bien t'amuser sur ce forum !
L’Écosse n'attend plus que toi.