nom ✘ Dunegan. prénom ✘ Esras. clan ✘ Sa famille est rattachée au clan MacNeil. âge ✘ 46 ans. statut ✘ Marié. famille ✘ Sa femme est Eanna Dunegan (45 ans), née Haughey. Ensemble, ils ont donné naissance à un fils, Eremon, puis à une fille six ans plus tard, Eireen, âgés respectivement de 30 et 24 ans. métier/rang ✘ Chevalier. qualités ✘ Travailleur, dévoué, très bon combattant, sensible (même s'il ne le montre pas), optimiste, attentif, léger. défauts ✘ Influençable (même si difficilement), trop franc, manque de tact, peur de perdre sa famille, ce qui lui donne une certaine faiblesse, peut-être parfois trop discret. loyal(e) envers ? ✘ Sa famille, les MacNeil, et les MacIntosh. groupe ✘ Western highlands and islands. avatar ✘ Richard Armitage.

QUE PENSES-TU DE CETTE GUERRE ? Les animaux se battent. Les hommes se font la guerre. Cela remonte à nos instincts les plus primaires et pourtant, c'est ce qui régit une bonne partie de notre existence. L'humanité repose depuis longtemps sur de nombreuses batailles, innombrables et toutes plus sanglantes les unes que les autres. Mais nous sommes faits pour vivre ainsi - ou pour mourir, devrais-je dire. Les hommes partent se battre, défendant leur honneur, leur clan - le mien se révélant être celui des MacNeil, prêtant allégeance aux MacIntosh -, leurs terres, leurs biens, leur famille. Et même si, à chaque instant, je redoute que par une bouche inconnue j'apprenne la mort de l'un des miens, que je me demande à quoi pensait l'homme qui aurait pu m'enlever mon fils, je respecte la guerre. Car elle définit tellement bien ce qu'est l'humanité. La loi du plus fort, du plus convaincant, celui qui, derrière lui, aura toujours des hommes prêts à se battre, des hommes comme moi. Et qu'elle représente une passion et une soif de vivre que peu de choses ont la prétention de savoir éveiller chez l'homme. Et puis, vous savez, elle et moi nous côtoyons depuis tellement de temps. Elle n'a pas encore réussi à m'avoir et, je l'avoue, elle me manquerait peut-être. Elle fait autant partie de moi que je fais partie d'elle.
TU CROIS AUX LÉGENDES, À LA MAGIE ? Je l'avoue, j'aime beaucoup les légendes de nos contrées. Mais ce n'est pas pour autant que j'y crois. Il me semble un peu gros que de joyeux feus follets viennent guider ma destinée. Déjà, pourquoi feraient-ils cela? Il est bien connu qu'on doit se dépatouiller avec son destin et qu'on est rarement guidé vers un avenir certain. Ensuite, on a jamais rien vu de telle et j'aime croire ce que je peux voir. De ce fait, j'ai quelques fois du mal avec mes croyances envers Dieu. En effet, Il n'a jamais vraiment démontré quoique ce soit en particulier pour rappeler aux hommes qu'Il était bel et bien là. Certains disent que c'est pour nous mettre à l'épreuve mais... Il pourrait au moins faire un tout petit geste. Et étant naturellement franc, je m'attire parfois les foudres des croyants les plus ardus, quand j'ose ne fusse que suggérer le fait qu'Il nous ai laissé tomber, s'Il se trouve bel et bien parmi nous. Mais je crois en Lui et Le prie aussi souvent que j'en ressens le besoin. Peut-être vit-Il dans le secret mais Il a au moins le mérite d'aider les hommes, dans la force qu'Il leur donne, qu'Il leur inspire.
DES GOÛTS ET DES COULEURS, IL NE FAUT DISCUTER Ce que j'aime par dessous tout, c'est d'être entouré de ma petite famille, de les savoir en sécurité et heureux. Les longues discutions avec mon fils, ou même les plus courtes, celles où ils nous arrivent seulement de parler du temps. Les banquets où, au lieu de voir mourir ces hommes avec qui je me bats, je les voir vivre et rire de bon coeur. Parce que même si j'aime me battre, je me demande parfois où toutes ces guerres nous mènent. Celle-ci dure particulièrement longtemps et je me demande parfois si j'aurais la chance d'en connaître la fin. Il y a peut-être aussi une autre chose que peu de gens ont remarqué chez moi ; j'aime tout particulièrement les bêtes. Sans doute une certaine sensibilité que peu de gens me connaissent. J'admire tout particulièrement la force et la grâce des chevaux. J'apprécie d'ailleurs m'en occuper et partir avec eux, à la chasse. C'est peut-être curieux de dire cela après avoir annoncé aimé les animaux, mais ce n'est pas l'acte de la mort que j'apprécie mais plutôt la course en elle-même et la difficulté de la chose.
ET DANS DIX ANS ? Dans dix ans, j'espère que je serai encore là, voilà tout. Et que j'aurai enfin d'adorables - et redoutables - petits-enfants. Enfin, pour cela, il faudrait bien que mes enfants décident à se marier car je commence un peu à désespérer sur le sujet. J'espère aussi que les clans seront à nouveau unifier même si je doute énormément de cette éventualité, vu tout les coups bas et autres fourberies se déroulant actuellement... Nous n'avions jamais été aussi fort que contre les Vikings, une fois unifiés.

Il était rare, à notre époque, de pouvoir se vanter d'être enfant unique. Et cela m'aurait terriblement attristé. Surtout que les paysans ont toujours eu cette manie d'en faire beaucoup - d'enfants. Pour une raison de rendement vous diront certains, mais c'est aussi pour une question de bonheur, croyez-moi. Parce que même si nous étions toujours partis dans les champs, dans les étables, nous crevant chaque jour, même parfois la nuit, nous étions heureux. Parce que nous ne manquions pas d'assez de choses pour nous plaindre. Déjà, humainement, je peux dire que j'étais comblé. Il y avait Garry, mon aîné, Ailen, le suivant d'à peine un an, moi-même, suivi de deux années par de faux jumeaux qu'on cru bien perdre ; Irven et Isobel. Puis il y eut Edme, peut-être ma préférée, Dunella et le petit dernier ; Gavin. J'ai autant été un grand frère, qu'un petit, et c'est peut-être là le meilleur rôle. Le plus âgé d'entre nous se devait toujours de garder un œil sur toute la ribambelle de bambins que lui avaient confectionné ses parents, pendant que le cadet des cadets devaient se contenter de suivre, portant les vêtements des trois autres garçons, sans jamais se poser de questions sur une taille laissant à désirer ou sur un manque de goût potentiel des années précédentes.

Et puis, autant de bouches à nourrir, c'était parfois ennuyeux. Mais c'était tout autant de paires de bras à faire travailler ou où aller se réconforter. Depuis toujours, je voue aux membres de ma famille une dévotion sans pareille. Ce sont les miens. Ceux pour qui mon sang coulera en cas de besoin - et il a déjà coulé. Pour qui, aucun ennemi ne me semblera trop fort. Aucune douleur trop intense. Aucun châtiment trop dur. Ils sont ceux qui m'ont porté jusqu'ici et que je porterai encore plus loin. Il y a un diction qui dit « Seul, nous allons plus vite. Ensemble, nous allons plus loin. » Et c'est cela, ce lien presque irréellement magnifique que je chéris tant au sein de ma grande famille.

Cependant, même si je respectais mon paternel autant qu'un fils doit respecter un père, je ne désirais en aucun cas suivre ses pas. Pourtant, sa femme, ma mère, avait depuis bien longtemps remarqué à quel point je lui ressemblais. J'étais le fils chez qui c'était le plus marquant. Le même manque de tact désespérant, la même façon de froncer les sourcils quand quelque chose ne lui plaisait pas, la même répartie imparable, le même courage, le même attachement aux siens. J'étais Eideard Dunegan Junior. Et je nourrissais les mêmes rêves que ce dernier, sans qu'il me l'ait jamais ouvertement confié ; défendre mon clan en tant que chevalier. Je ne voulais pas me contenter de vivre plus ou moins tranquillement et modestement à travailler la terre le reste de ma vie. Cela ne semblait pas déranger plus que cela Garry qui se voyait déjà reprendre l'affaire familial ni même le reste de la tripotée qui se contentait de suivre. Mais ce n'était pas mon cas. Ils essayèrent d'abord de m'en dissuader, m'adressant des mots tels que « Les chevaliers deviennent parfois des paysans mais l'inverse est bien loin de la vérité ». Mais ils n'avaient pas encore évalué à quel point j'étais déterminé.

La première fois que je vu le maître d'armes, il m'avait regardé en soupirant. Qu'est-ce qu'il pourrait bien faire de moi? Rien. Alors autant se débarrasser de la question rapidement. Il prit le premier garçon qui lui tomba sous la main et me dit, non sans un sourire quelque peu sadique aux bouts des lèvres, que si j'arrivais à toucher ce jeune homme, je pourrais rester afin de recevoir son apprentissage. Il ne fut même pas surpris de me voir directement en difficulté devant cet adversaire entraîné mais stoppa l'affront à l'instant même où j'avais esquivé un des coups. Il m'avait longuement dévisagé avant de me demander sèchement « Qu'est-ce que tu viens de faire là? » Sa voix se voulait dure mais dans son regard, un mélange curieux d'étonnement, d'incompréhension et d'excitation se lisait. En vérité, il lui semblait fabuleux à quel point j'avais si rapidement copié mon adversaire. Il était subjugué, ne sachant comment réagir face à un fils de paysan capable d'accomplir cela. J'avais répété exactement les mêmes gestes que l'être se trouvant devant moi, sans apprentissage particulier antérieur. Et même s'il ne me l'avait jamais ouvertement déclaré, on pouvait lire dans ses yeux qu'il trouvait cela tout simplement fabuleux. C'est ainsi que je me défis rapidement de cette tendre et chère famille, me rendant fièrement au château des MacNeil que je défendrai jusqu'à mon dernier souffle.

Puis, il y eut Eanna. Je ne pourrais vous conter un seul instant de plus de mon existence sans en parler. C'était une des filles du voisinage - la pus jolie selon mes dires, qui sont tout à fait véridiques. Nous nous échangions parfois quelques regards complices et c'étaient en ces instants que mes frères aimaient le plus me taquiner. Il fallait les comprendre ; voir l'ours mal léché que j'étais sourire béatement au vide devait être un spectacle plutôt amusant à contempler.
Notre joie fut immense en apprenant que nos parents avaient pris la décisions de nous marier - à vrai dire, ils en furent presque étonnés. Peu de couples ont la chance de pouvoir raconter une histoire comme la nôtre ; celle de s'être aimés dés le premier regard. Souvent, c'est plutôt un arrangement qui déplaît, ensuite une accoutumance pour finir sur une entente polie ou cordiale, donnant parfois naissance à de la sympathie - et dans les plus beaux cas, de l'amour. Mes parents avaient été eux-mêmes deux amants redoutables avant de s'apprécier assez que pour accepter la situation, jusqu'à la trouver agréable.



« Qu'est-ce que c'est? » Je lançai un regard à l'auteur de ces paroles. Je regardai de quoi il parlait avant de sourire légèrement. Sur mon doigt, se dessinait une petite entaille d'une forme peu commune. « Eremon a désormais quatre petites dents plutôt acérées, si tu veux savoir. » Je ne prêtai même pas attention aux rires moqueurs qui suivirent ma réponse. Isran était particulièrement irritant quand il le voulait. C'était un être tout à fait particulier. Personne ne savait exactement dire s'il était adorable ou si c'était la pire des crasses que le monde ait porté. Je pense qu'il a toujours simplement été... comme son coeur lui disait de l'être. Sans trop se poser de question sur ce qui devait être bon ou mal. Mais à en croire le courage habitant son âme et l'ami que j'ai connu, il avait un fond tout à fait respectable. Il avait trouvé impressionnant à quel point je semblais déjà si fier de mon fils, à peine quelques jours après sa naissance. Ou étonnant comme je traitais cette jeune fille qui m'avait si tôt été promise et qui m'avait si tôt donné un enfant. La plus adorables des têtes blondes que mes yeux avaient pu contempler, en ce monde. Je n'oublierai jamais la façon dont mon coeur d'homme s'était serré en sentant cette toute petite main agripper de toutes ses forces le bout de mon doigt. Jamais. Il n'y avait, pour moi, rien de plus magnifique que devenir père. Ma tendre femme m'offrait ce qu'il y avait de plus beau dans cette existence ; la vie elle-même. Et le compagnon qu'était Isran avait parfois du mal à me voir comme tel ; s'entraînant depuis maintenant assez de temps à mes côtés, j'étais pour lui un ours grognon qui mordait plutôt facilement. Même s'il n'était pas mal non plus, dans son genre. C'était peut-être pour cela que nous nous supportions malgré tout.

C'était avec lui que, la première fois, je m'étais élancé sur les champs de bataille. Il s'était retourné face à moi, son sourire malicieux habituel ayant disparu mais cette flemme dansant dans ses prunelles encore plus bleus que les miennes brûlant encore plus intensément qu'à l'habituel. Il m'avait dit, de sa voix forte et grave mais qui en ce jour se voulait rassurante, « Esras, si un instant tu hésites à ôter la vie à un ennemi, dis-toi qu'il ne l'aurait jamais fait pour toi. Je veux te revoir après cette bataille, promets-le moi. » Et c'est ce que je fis. A ses côtés. Le protégeant quand je le pouvais, même s'il en avait pas réellement besoin. Il se battait aussi bien que moi - personne n'avait jamais su nous départager sur la question et cela nous irritait particulièrement beaucoup.


Il y eut, il y a une décennie de cela un nombre conséquent de choses qui ont changé la face de notre monde, comme vous le savez. Certains vous diront que les premiers coups ont été les plus doux. N'empêche qu'ils en sont restés meurtriers. A cette époque, j'avais déjà perdu quelques frères d'armes, comme tout les combattants de ce monde mais celui que je considérai comme le quatrième de mes frères se battait toujours à mes côtés. Je suppose que, par ces mots, vous vous doutez de la suite. Isran était tombé. Et ce fut avec horreur que je me rendis compte qu'il ne valait même pas la peine d'essayer de combattre la mort ; elle l'avait emporté sur le coup, ou du moins quelques instants après. Je n'eus pas le temps de m'en occuper et, dans ces nombreux cadavres piétinés, jamais je ne l'avais retrouvé. J'ai toujours eu l'impression, depuis, de me battre à découvert, comme si quelque chose me manquait. Et c'est le cas. Isran me manque comme un frère. Comme mon défunt père, ou ma tant regrettée mère. Peut-être même un peu plus, tout en respectant la mémoire de mes parents.



Il y a deux êtres dont je n'ai peut-être fait que cité les noms, alors qu'en réalité, ils sont chacun plus important à mes yeux que ma propre vie. Mes deux enfants. Mes deux terribles enfants. Qui, l'un comme l'autre, me ressemblent tant - et c'est peut-être ce qui vous désespère en ce moment. Ils m'ont chacun offert leur lot de merveille mais aussi, de désespoir. Combien de fois me suis-je évertué à leur inculquer les choses de la vie alors qu'ils préféraient se jouer de moi? Combien de fois ai-je du remuer ciel et terre pour retrouver Eiren, alors qu'elle était avec le pire de ses complices, son frère lui-même? A combien de questions inopinées ai-je dû répondre, du mieux que je le pouvais? Combien de frayeurs m'ont-ils fait? Pas assez pour m'enlever ne fusse qu'une once de l'amour que je leur porte. Parce que justement, ce sont mes enfants et je n'en attendais pas moins d'eux.


Quand cet homme m'avait dit, sans même oser me regarder dans le blanc des yeux « Maître Dunengan, c'est votre fils, il... » j'avais senti mon coeur battre une fois de trop avant de commencer à accélérer ses pulsations, les rendant plus ardues, plus intentes. J'avais redouté cet instant depuis la seconde où il était devenu chevalier, marchant dans mes pas. Je me réveillai parfois la nuit, haletant, à cette idée. Je n'osais que l'imaginer, vainement, en essayant de ne pas y penser. Et là, on venait de me l'annoncer, comme ça ; Eremon n'était plus. C'est ce que je crus du moins, avant qu'on me prévienne qu'il était bel et bien encore en vie mais peut-être plus pour longtemps.

Quand je vus mon propre fils, la chair de ma chair, cet être si important à mes yeux, inerte, les yeux clos et couvert de sang, mon coeur se déchira et je dus lutter pour me montrer fort. Je me devais de l'être. Cette idée se renforça quand j'aperçus ma fille approcher en notre direction ; je l'agrippai malgré toutes ses contestations, l'emmenant loin de lui. Je ne voulais pas qu'elle le voit dans cet état, je ne voulais pas qu'elle se rende compte à quel point c'était terrible, je voulais... la protéger, c'était tout. Et à ce moment, ses mots me firent mal, au plus profond de moi. Elle ne voyait pas ce que je voulais, non. Elle me voyait comme le mal, aveuglée par la tristesse, la rage même, comprenant ce qui était entrain de se passer. Et, pire qu'à l'habitude, je ne savais que faire exactement devant cette furie dans lequel je voyais terriblement trop d'Esras Dunengan. Dans un élan, peut-être de désespoir, je l'avais plaquée aux murs avec une violence à laquelle je ne m'attendais pas, lui hurlant que cet être qu'elle désirait tant voir était aussi mon fils. A cet instant même, elle réclama mes bras que je lui offris, essayant de la rassurer. Alors que moi-même, j'étais enfermé dans une douleur et une tristesse sans nom. Mon fils. Mon unique fils. Mon cher fils. Il ne pouvait pas nous laisser, il était fort. C'est ce que je murmurai au creux de l'oreille de sa soeur, blottie contre mon torse, caressant ses longs cheveux de jais, m'efforçant de remplir mon rôle de père mais aussi d'homme sans faille. Même ma tendre épouse ne m'avait pas vu verser une seule des larmes qui avait coulé sur ma joue, dans la nuit sombre, pendant que je me demandais si nous aurions encore un jour la chance d'entendre le son de sa voix.

Et quand, ce fut enfin le cas, je crus qu'il renaissait à nouveau. Je remerciai mille fois notre Seigneur pour nous l'avoir rendu et fus autant que je pus à ses côtés - comme je l'avais toujours été. Mais je pouvais imaginer à quel point la nouvelle qui lui était tombée dessus pouvait être tragique à ses yeux ; plus de bataille. C'était une des pires choses que l'on pouvait annoncer à un chevalier, ne plus pouvoir défendre ses couleurs sur un champ de bataille, ne plus pouvoir revendiquer son honneur, sa force, ne plus se battre parmi les siens. Mais au moins, on n'avait pas eu à annoncer la pire des choses que l'on peut déclarer à une mère ; qu'elle a perdu son enfant. Car voir ma femme dans cet état de désespoir, alors qu'elle s'était toujours montrée si forte et déterminée, cela m'anéantissait un peu plus. En cette période, j'aurais voulu tout arranger mais j'étais tellement impuissant que ça me rendait presque malade. Mais je ne le montrai pas, peut-être un peu trop fier mais surtout parce que je devais être l'épaule où les deux femmes de ma vie pouvaient se reposer. Mais ma fille devait penser le même. Car, par après, pas une seule fois je ne l'avais vu verser à nouveau une seule larme, se voulant peut-être aussi forte que celui qui l'avait élevée. Et peut-être ne lui ai-je pas assez souvent dit qu'à mes yeux, elle était la plus respectable et la plus courageuse des jeunes filles que je connaisse - malgré sa fougue sauvage qui me donnait de nombreuses raisons de devenir fou. Je suis terriblement fier des mes deux enfants, même si, souvent, ils me désespèrent encore.

pseudo ✘ Psychotroll ou Viima. Selon mon humeur prénom ✘ Céline. Ou Céline. Selon mon humeur. *S'enfuitencourantavantqu'ilsnemettentsatêtesurunpique* âge ✘ 17 ans. où avez-vous trouvé le forum ? ✘ Dans les partenaires du Hobbit. comment le trouvez-vous ? ✘ Bah en fait j'y avais déjà jeté un coup d'oeil. Mais vous savez, c'était pendant que je cherchais "le forum coup de coeur" pour un ultime perso (le dernier qu'on peut se permettre là, alors qu'on en fait encore trois après). Et en ces moments-là, j'ouvre dans plein d'onglets différents, les potentiels élus. Mais, après un certain moment, où mon ordi commence à laguer, où je dois terminer une dissert' ou l'autre en français/néerlandais/anglais/espagnol (en général, il faut même pas barrer le mention inutile car j'ai les 4 en même temps), où l'heure tourne, j'en ai soudainement très marre et il faut que je ferme tout. TOUT DE SUITE. Alors du coup, vous êtes un peu passé à la trappe pour faute d'impulsivité aiguë Puis, aujourd'hui, pendant que j'étais malade, je cherchais vainement un fow (là, j'étais peinard). Et je pensais pas trop à vous en fait. J'aimais bien le contexte, le design et tout mais j'avais pas trop trop d'idées de perso. Alors, comme toujours, je suis allée fouiller dans les pvs é& scénarios (alors que ça m'est arrivé tout au plus 5 fois de prendre un pv, sur 5 ans d'expérience, donc...) Et puis là, je vois "Richard Armitage". Alors avec ma mémoire de poisson rouge pour ce qui est des noms des acteurs (ils s'appellent tous par le nom de leur perso phare. Y a que quelques privilégies comme Harrisson Ford ou encore Robert Downey Jr.), je savais que je le connasisais mais je savais plus trop qui s'était... Et puis j'ai vu et je me suis sentie conne en criant "THORIIIIIIN! Puis j'ai dévoré le pv. Et... me voilà. J'adore les liens et tout. Je suis tombée sous la charme. Bravo à vous parce que je vous jure que ça m'arrive pas souvent. J'ai hâte d'être dans votre fofow pour de vrai " présence sur le forum ✘ 4 à 5/7. autre chose à dire ? ✘ Fièvre quartaine qui le puisse serrer! Aaah overdose de super présentations de la mort qui tue. Vas-y que j'ai lu premièrement le pv d'Esras (ça va ça), celui de sa chérie Eanna, la présentation d'Aindreas (maudit soit ce nom qui me fait penser à Andreas&Nicolas, créant alors, écho de leurs débiles chansons et tourmentant mon âme... Non mais, c'pour rire, j'aime bien ce prénom. C'juste que j'ai vraiment les chansons débiles en tête.), celle d'Eremon et aussi celle d'Eireen bien sur... Me reste plus qu'à écrire la mienne j'ai envie de dire (oui, parfois j'hésite et indécise, je prends les deux choix. Heureusement, ici, ce ne sont que des smileys, dans la vie courante c'est parfois plus... compliqué.)
Sinon, désolée si je raconte beaucoup ma vie, c'est plus fort que moi. Je peux pas m'empêcher d'écrire/parler tout plein. C'est plus fort que moi ._. (Voilà pourquoi je me sens obligée de faire dans la communication xD) Attendez, je vais vous la refaire ; c'est plus fort que moi. Plus fort que moi. Plus fort que moi. Plus fort que moi. Plus fort que moi. Plus fort que moi. Plus fort que moi.Plus fort que moi. ...

Nomd'unp'titbigoudis. OKAY C'EST UNE FICHE QUI DÉCHIRE A MORT - puis si l'ours blond aime, je peux qu'adorer. Franchement, j'ai adoré la lire, une plume très sympathique et Esras, ce personnage de fou, j'pense que tout comme Eremon, j'te remercierais jamais assez d'avoir posé ton dévolu sur monsieur. J'ai vraiment hâte de voir ce que ça va donner en RP, et puis bah écoute, je te valide avec grand plaisir. DUNEGAN FTW.

Bravo à toi mon enfant, comme tu dois le deviner : tout est parfait pour que tu puisses tranquillement te balader sur les terres d’Écosse. Avant toute chose, il va falloir faire quelques petites manipulations. Et oui ! Alors, pour commencer, nous te prions s'il te plaît d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas te le faire sucrer, sans le faire nous ne pourrons pas mettre à jour le bottin. Pour continuer va donc faire un tour du côté des liens, qui sait ça pourra t'aider à forger des affinités pour ton personnage et dieu seul sait quoi d'autres ! D'ailleurs en parlant d'affinités, si tu as envie de créer un scénario, ça se passe dans ce petit coin là sait-on jamais si l'envie te dit ! Et plus qu'un petit point à savoir, jette toi à l'eau en ce qui concerne le flood, y faire un petit tour pour bien s'intégrer et décompresser un petit peu.

Sur ce, tout le staff de WOTW te souhaite de bien t'amuser sur ce forum !
L’Écosse n'attend plus que toi.