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 Domhnall ☾ keep going.

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Domhnall Hay
Domhnall Hay

Lowlands

▷ ÂGE IRL : 32
▷ MESSAGES : 172
▷ INSCRIPTION : 03/02/2013
▷ LOCALISATION : Dans les Lowlands. Je rentre tout juste au château Hay.
▷ ÂGE : 27 ans
▷ HUMEUR : Ramassé.
Domhnall ☾ keep going. 905669tumblrma03bxUdbE1qip73ao4r1250

« Elle s’est emparée de mon cœur et l’a mis à l’abri, dans un endroit dont elle seule connait le secret. »
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MessageSujet: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyDim 3 Fév - 21:08

Domhnall Hay
Si tu n'avances pas, tu es mort
nom ✘ Hay ; il est celui de mon clan, les métallurgistes. prénom ✘ Domhnall. Il veut apparemment signifier " le peuple fort ", mais je ne sais pas réellement si j'en suis digne. clan ✘ Les Hay, fiers métallurgistes vers qui les MacGuffin se tournent en cas de besoin. âge ✘ Vingt-sept ans. Mais j'ai bien failli perdre le compte. statut ✘ Aux dernières nouvelles, j'étais promis à Rachael Seton. Mais je ne sais foutrement pas ce qu'il en est aujourd'hui... famille ✘ Mon père était Arran Hay, marié à Fenella Hay, née Lenath ; tous deux sont présentement décédés. Ils mirent ensemble au monde un premier fils Amhlaidh Hay, 36 ans, moi-même, puis un troisième du nom de Lachlan Hay, 24 ans, et enfin une fille, Mairin Hay, 21 ans. métier/rang ✘ J'étais destiné à être chef de clan à la suite de mon frère malade, et j'étais métallurgiste comme beaucoup au sein du clan. Si le deuxième point est sûrement encore vrai, je ne sais ce qu'il en est du premier. qualités ✘ Je ne suis pas rancunier. J'estime que tout le monde a droit à une seconde chance. Cependant, si celle-ci est utilisée à tort, je ne ferais plus de cadeau. Je sais faire la part des choses ; si je suis assez têtu, je sais quand il faut que je me fasse petit ou au contraire que je m'affirme. Je suis assez positif dans l'âme. Même si mes parents sont morts, et si mon frère est malade, je n'arrive pas à être défaitiste. Je sais qu'il faut que je m'accroche. Après tout, n'est-ce pas la devise de notre clan, de garder la foi ? Je sais également me montrer léger et si ce n'est pas au goût de mon frère aîné, je fais régulièrement preuve d'un humour qu'il désapprouve. Enfin, je suis très attaché aux gens qui me sont chers. Je ne puis leur faire de tort il n'y a pas plus loyal que moi. défauts ✘ Je peux être assez agaçant, j'en ai bien conscience. Lorsque j'ai quelque chose en tête, il sera difficile de m'en détourner. Je fais souvent preuve d'un certain détachement. Quand quelque chose me paraît futile, je ne m'en préoccupe guère. Qu'il s'agisse d'une bataille frivole, d'un choix de décoration, qu'en sais-je. Je n'aime pas m'accabler de préoccupations qui ne me concernent pas. Mon frère me qualifie souvent de je-m'en-foutiste, je ne sais s'il a réellement raison. Je suis assez sanguin. S'il on me provoque ou que l'on fait du mal aux personnes qui me sont chères, je ne vais pas attendre bien longtemps avant de répliquer. Vous en êtes prévenus. Ce n'est cependant pas très bien vu par mon frère aîné. loyal(e) envers ? ✘ Rachael. J'étais (je suis ?) promis à elle et ne souhaitais aucune autre femme. Je suis également fidèle envers mon clan, et les MacGuffin. groupe ✘ Lowlands avatar ✘ Chris Hemsworth mais genre holala j'vais le bouffer.


QUE PENSES-TU DE CETTE GUERRE ? Je ne sais pas ; je n’y pense pas réellement. Je me bats parce qu’il le faut. Bon, ceci étant, si elle a lieu, c’est bien parce qu’il y avait une raison au début, non ? Je ne pense point que notre souverain fasse couler le sang par plaisir, en toute honnêteté. Mais peut-être qu’elle ne rime plus à grand-chose à présent. Peut-être ont-ils d’autres raisons de se battre. La reine Merida est assez inconsciente, de ce que j’ai pu en comprendre. Peut-être que oui, mieux vaut-il qu’un homme monte sur le trône à sa place, peut-être que ces batailles ont un sens, mais lorsque j’y suis, très sincèrement, j’en doute un peu.
TU CROIS AUX LÉGENDES, À LA MAGIE ? Basiquement, je ne savais que penser à ce sujet. Je suis un homme, et même si je peux avoir grandi en écoutant les légendes, il n’est pas de mon rang de croire aux contes de bonnes femmes. Je ne me suis donc jamais posé concrètement la question jusqu’à ce que j’aie l’impression de voir ou d’entendre des choses étranges. Oh, évidemment, rien ne s’est manifesté à moi, mais je sais que je ne suis pas fou. Surtout étant donné où j’ai été traîné, contre mon gré. Mais voilà, je ne sais pas vraiment quoi penser. J’ai envie d’y croire, je sais que je n’ai rien inventé, mais je n’ai pas de preuves. Pas de concrètes en tous cas.
DES GOÛTS ET DES COULEURS, IL NE FAUT DISCUTER Il y a peu de chose que je n’aime pas. Qui ne m’intéressent pas, c’est une chose, mais que je déteste, c’est une autre histoire. Concernant les objets, les choses en tous cas, j’estime que je n’ai pas à me soucier des goûts des autres. S’ils sont heureux, je ne suis pas en droit d’aller critiquer ci ou ça. De ce fait, je ne me prends pas la tête avec ce qui serait susceptible de ne pas me plaire. Je suis désintéressé, tout simplement. J’apprécie les choses légères, une jolie couleur, un moment agréable, une sieste à même les champs. J’aime être détendu et je suis dans ces cas-là toujours plus ouvert, plus calme, plus avenant. Je dois bien avouer que je suis assez gourmand. J’aime aller traîner près des cuisines, piquer un morceau de pain, ou tout simplement rester un moment pour humer la bonne odeur des plats préparés. J'aime la sérénité et si je peux passer pour une dame en disant cela, j'aime être présentable. Evidemment, avec mon métier, c'est loin d'être souvent possible. Si je n'avais pas d'obligations, j'aimerais à traîner dans les draps plus longtemps que je ne le devrais. Si je suis déterminé, je n'en reste pas moins quelque peu fainéant.
ET DANS DIX ANS ? Il y a un an de cela, j’aurais pu me voir marié. Je ne savais pas à combien de temps était la cérémonie mais une chose était certaine, je me voyais épouser Rachael. J’aurais pu aisément imaginer des enfants ajoutés à ce tableau. J’aurais pu m’y voir heureux, auprès de la femme que j’aime et notre descendance. Mais le destin en avait décidé autrement en ce qui me concernait. Je ne sais déjà pas si je vais bientôt remettre la main sur ce maudit château, alors à savoir si Rachael m’est toujours promise, ou même si elle est toujours parmi les miens… Qu’en sais-je ? Alors oui, si je devais prononcer un souhait, j’aimerais qu’elle demeure encore chez les Hay, que le mariage ait été repoussé, que tout se passe comme prévu. Et que ma vision de « dans dix années » puisse se concrétiser.

© will o' the wisp


Dernière édition par Domhnall Hay le Mar 5 Fév - 18:12, édité 3 fois
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Lowlands

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« Elle s’est emparée de mon cœur et l’a mis à l’abri, dans un endroit dont elle seule connait le secret. »
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyDim 3 Fév - 21:10

Une vie, une histoire
rien n'était censé arriver

1121 ; Amhlaidh & Domhnall ont 34 et 25 ans.
La saison avait plutôt bien démarré. Les champs étaient cultivables à souhait et le temps était clément. Notre production d’armes était sans égale et j’étais même reconnaissant envers notre clan d’avoir un tel statut pour ne pas être les pestiférés des MacGuffin. La guerre n’était pas une chose dont je raffolais, mais je devais bien avouer qu’il était plaisant de savoir que le souverain se tournait essentiellement vers nous lorsqu’il en avait besoin. En premier lieu pour nos armes, certes, mais ça nous offrait un statut privilégier. Mais à tout ciel son nuage, et le mien s’appelait Amhlaidh. Si je ne posai pas de questions, il me paraissait tout de même étrange qu’il veuille me prêter main forte cet après-midi-là. Si le clan regorgeait de fiers métallurgistes, et si mon rang m’autorisait à ne pas travailler autant, j’avais besoin d’exercer cette activité. En revanche, mon frère touchait rarement au feu depuis qu’il avait repris la direction des Hay, après le décès de nos parents. Il était même maladroit dans ses gestes, et je dus lui indiquer comment s’y prendre à plusieurs reprises, ce qu’il n’aima pas. Concentré dans ma tâche, je l’écoutai à peine lorsqu’il osa enfin dire la raison de sa présence. « Je ne suis pas venu pour fabriquer des armes avec toi. » Ça, je m’en doutais un peu. Je levai à peine les yeux vers lui, attendant la suite. Il savait se faire désirer, et je n’étais jamais entré dans son jeu. Nous n’avions jamais été très proches, finalement. Il avait toujours été là, mais plus à se comporter comme le prince parfait et strict. Jamais il n’avait réellement passé du temps à essayer de me connaître, ni même Lachlan ou Mairin. Petits, nous jouions à peine ensemble. Non, en définitive, je n’étais proche que de mes plus jeunes frères et sœurs. Si c’était dire que je n’aimais pas pour autant Amhlaidh, je pense que ceci est faux. Je l’aime car il est mon frère, mais je n’ai pas grand-chose de commun avec lui, voilà tout. S’il a ses priorités, ses manières d’être, j’ai les miennes. Je l’entendis soupirer. « Domhnall, je suis malade. » Je ralentis mon mouvement mais ne m’arrêtai pas pour autant. Ça faisait un moment déjà qu’il n’était pas au mieux de sa forme, nous en étions déjà plus ou moins au courant. Mais qu’il mette tout ceci en scène pour me l’annoncer ne présageait rien de bon. Mais je n’avais pas pour habitude de montrer ce genre de sentiments. Non seulement ce n’était pas une chose à laquelle les hommes s’adonnaient, mais encore moins étant donné mon rang. Finalement, il posa sa main sur la mienne pour arrêter ce que je faisais, et que je lui consacre quelques minutes. « Veux-tu bien m’écouter ? » Je consentis à lever les yeux vers lui et ramener mes mains vers moi. « Il est fort probable qu’au cours des prochaines années, je ne sois plus… en mesure de rester à la tête du clan. » A ce point-là ? Sa maladie était dont si grave qu’il suggère de me laisser le trône ? Je ne sus que répondre et il le comprit parfaitement. Aussi, il enchaîna sans laisser le temps à un quelconque malaise de se créer. « Je vais encore pouvoir diriger un certain moment, mais je pense que tu as compris le fait que tu devras prendre ma succession, Domhnall. Et en vue de cela… il va falloir te marier. » Et là, je devais bien avouer ne pas avoir réagi comme je l’aurais dû. Je laissai mon frère là, dans l’atelier, sans dire un mot, afin de ne pas exploser devant lui. Je n’avais rien à dire, il était même anormal qu’à mon âge, je ne fus point marier, étant donné mon statut. J’avais besoin de réfléchir. Jusque là, je n’avais pas réellement songé à me marier, et c’était même un miracle que mon frère n’eut pas souhaité que je le fasse plus tôt. Dans les nouvelles conditions, je comprenais ce que cela impliquait. Je trouvais même ça normal. Mais ça faisait un gros changement d’un coup, et je n’avais même aucune femme en vue, aucune avec qui j’aurais aimé me marier. Qu’Amhlaidh me force la main était assez insupportable, en fait. Et c’était surtout ça qui me poussait à m’en aller de sa vue. J’allai en dehors du château, vagabonder dans les champs, où je me posai un moment. La plupart des unions étaient arrangées, et ne nourrissaient même jamais de sentiments. Je ne serais point l’exception à la règle, et je n’en mourrai pas. C’est de cela que j’avais besoin de me convaincre. Ce n’était pas si terrible. Amhlaidh était gravement malade, et j’allais me marier. Bon bilan pour la journée.

1122 ; Rachael & Domhnall ont 23 et 26 ans.
Le mariage était annoncé. Nous n’avions pas de date, nous ne savions pas combien de temps il restait à Amhlaidh avant de mourir, mais il avait l’air de bien tenir le coup. Pour le moment du moins. J’avais été présenté à Rachael et cela faisait déjà quelques mois qu’elle logeait au château, attendant la cérémonie. Je n’avais pas été très présent, ni même très agréable avec elle jusque-là. Je ne voulais pas m’attacher, du moins pas de suite. Même sur le principe, je n’étais pas encore prêt à me livrer ainsi. Alors oui, cela fait très paroles de bonne femme. Mais parce que j’étais un homme je n’avais pas droit d’avoir des préoccupations concernant mon futur couple ? N’avais-je pas droit d’avoir ce genre de pensées, ce genre d’angoisses, même ? De fait, j’étais presque totalement désintéressé. J’allais me marier, oui, et après ? La belle affaire. Tout ce que j’avais à faire par la suite serait assurer la descendance des Hay. N’allez pas croire que j’étais totalement dénué de sentiments. Justement, je préférais ne pas en avoir, ou pas encore. Si ça devait venir, nous en aurions bien le temps. Je devais tout de même avouer qu’elle n’était pas désagréable à regarder. La famille Seton avait de beaux enfants, c’était indéniable. Je ne pouvais cracher sur ce joli visage, ces jolies formes. Mais elle donnait l’impression d’être résignée, même peureuse. Et je ne me sentais pas d’aller la trouver pour connaître ses maux et les guérir. Pas de suite. Si je pouvais être détaché et à l’aise en sa présence, je ne me sentais pas encore proche d’elle. Je devais faire des efforts, et j’en avais conscience ; après tout, elle allait être ma femme. Mais je n’y arrivais pas. J’attendais que le temps passe et je ne me demandais pas réellement si elle le vivait bien ou non. Et puis il y eut ce moment. Ce moment où je suis arrivé dans cette chambre, où tout a changé. Ce moment où j’ai vu ce visage apeuré, ce visage blessé, ce visage qui me criait de le protéger. Si je mis du temps à comprendre ce que ma tête et mon cœur me disaient, je sus que je fis cependant le bon choix. Voir Rachael ainsi me fit réaliser que finalement, je tenais déjà plus à elle que je ne voulais bien me le faire croire. J’allai guérir sa lèvre, ou du moins faire mon possible pour qu’elle eut moins mal. Je crois que j’avouai malgré moi qu’elle me plaisait. Moi qui pensais me plier à un mariage arrangé comme on en voyait beaucoup, je me rendais compte que j’allais peut-être avoir la chance de faire partie de ces exceptions qui s’aimaient ; réellement. Avec le temps, elle n’eut besoin de me dire que ceci était partagé. Comment expliquer ce sentiment ? Cette impression de bien être que rien ne peut ébranler ? J’avais cette certitude d’être le mieux loti des prétendants forcés. Il y avait cette intensité, cette profondeur dans son regard, cette chose que je ne saurais décrire avec exactitude. Elle s’est emparée de mon cœur et l’a mis à l’abri, dans un endroit dont elle seule connait le secret. Depuis lors, je ne puis penser à mal. Je ne puis m’attrister de la maladie de mon frère. Après tout, les choses arrivent toutes pour une raison, non ? S’il devait en être ainsi, je n’étais personne pour contester ceci. A chaque instant où je posais les yeux sur elle, je me sentais vibrer. Je me sentais habité par une âme nouvelle, et cette vague d’émois qui déferlait sans que je ne la comprenne vraiment. C’était étrange. Je ne savais pas si je lui faisais encore peur, si je pouvais prétendre à vouloir la chérir, à m’occuper d’elle comme il se devait. Oui nous allions nous marier, mais si elle ne voulait pas de moi, je n’allais point aller contre son bon vouloir. Je me serais contenté d’accomplir mon devoir comme mon statut le réclamait. Mais ses yeux révélaient de nouvelles choses. Ces yeux que j’avais cherchés cette fois-là, dans cette chambre, lorsqu’elle avait fait tomber cette coupelle et s’était confondue en excuses. Je ne m’étais jamais senti ainsi. Sa détresse m’avait appelée, peut-être même sans qu’elle ne le veuille, mais j’avais saisi cette main tendue à tout hasard et je n’avais plus voulu la quitter. Je ne le souhaitais pas. J’avais besoin de mettre des mots sur tout ceci, j’avais besoin de savoir ce qu’il en était pour elle. Si je devais garder une certaine distance après le mariage, autant le savoir avant. J’allai donc la trouver, dans cette même chambre où ses yeux m’avaient crié de faire le bon choix. Endormie sur ce lit, elle semblait emplie de calme et d’innocence qui n’appartenaient qu’à elle. Alors que je me tenais sur le pas de la porte entrouverte, j’hésitai. Je n’avais aucunement l’envie de la réveiller. Je n’avais point envie de faire marche arrière, je voulais lui parler. Je restai donc là, à attendre de me décider, regardant la sérénité de son sommeil. Et puis je secouai la tête en tournant les talons ; j’aurais bien le temps de lui parler plus tard. Mais j’entendis un bruit sec de froissement de tissus. Avais-je fait trop de bruit avec cette porte grinçante ? Je tournai la tête pour m’apercevoir que oui. Rachael s’était redressée et me fixait avec cette intensité qui me serrait le cœur. « Vous en allez-vous ? » Je ne pouvais quitter ses yeux. Ils brillaient, comme à leur habitude, mais j’y décelai cette fois un nouvel appel. Je n’avais aucune envie de partir de cette chambre, je voulais lui parler, l’écouter, passer de nouveaux instants avec elle. Et puis, j’étais bien venu pour quelque chose. Je finis par faire un pas et refermer la porte derrière moi. « Non, je reste. » Je lui souris pour la rassurer et m’avançai à nouveau. Je ne savais plus réellement comment me comporter, à présent. Je ne me sentais pas en droit de venir m’installer près d’elle sur ce lit, même si ça n’était que dans l’optique de lui parler. Je déplaçai frénétiquement mes yeux sur son visage, sur le mur, sur le lit, et je finis même par pencher la tête et me frotter la nuque de ma main. Rarement j’avais été dans un tel état, de ma vie. « Qu’avez-vous ? » Je souris timidement, ne sachant que répondre. Je m'avançai de quelques petits pas et posai ma main sur le pied du grand lit. « Je… Je souhaitais te parler. » Une nouvelle fois, je passai mon autre main dans mes cheveux, ne sachant comment aborder la chose. Mais Rachael vint à mon secours en s’asseyant pleinement et en se décalant, m’invitant silencieusement à venir auprès d’elle. Je ne pouvais pas dire que je m’imposais, alors je pris place à ses côtés. Mais cela ne m’avait pas avancé sur la manière dont je devais m’exprimer. D’ailleurs, je ne savais même pas si c’était approprié. Je me retins de soupirer, surtout par gêne. Je tournai la tête pour m’accrocher à son regard, pour me donner du courage. Ses yeux semblaient avides de savoir la raison de ma présence, peut-être même avait-elle deviné… « Il y a… quelque chose que j’aimerais te dire. » Ma main fit un mouvement circulaire dans le vide voulant signifier « mais je ne sais pas comment le dire, en fait ». Je sentis qu’elle voulut se rapprocher de moi, tout doucement, et surtout timidement. Je cherchai mes mots. « Voilà, je… Je suis heureux que mon frère ait voulu me marier. » Bon, ça n’était pas exactement ce que je souhaitais sortir, mais c’était un début, non ? J’étais lancé, je n’allais pas m’arrêter en si « bon » chemin. « En réalité, je… » Mais Rachael apposa le bout de ses doigts sur mes lèvres. « Ne dites rien. » J’essayai de trouver une réponse dans son regard, quelque chose qui m’explique ses intentions, mais sans succès. Par ailleurs, ses yeux ne restèrent pas très longtemps dans les miens. Fuyait-elle ? « Je pense savoir ce que vous souhaitez me dire et… sachez qu’il en est de même pour moi. » Mon cœur fit un bond. Je fronçai légèrement les sourcils. Me disait-elle que mes sentiments étaient partagés ? Je n’en avais jamais espéré tant. Pas à notre époque. Je ne savais que répondre, mais à la façon dont elle détournait son regard et dont ses joues avaient pris une jolie teinte rosée, je devinai que j’avais pensé juste. Alors je ne réfléchis plus. Je levai une main et posai doucement le bout de mes doigts sur sa joue, dans un même temps que ses yeux me trouvèrent à nouveau. Je la caressai lentement, comme si je risquai de lui faire mal par ce simple geste. Et petit à petit, je me rapprochai. Je ne saurais dire si elle eut peur ou non, mais je sentais sa respiration s’accélérer comme la mienne. Je finis par fermer mes paupières en posant délicatement mes lèvres sur les siennes. Jamais je n’avais ressenti ceci. Une explosion d’émotions, de saveurs, de pensées. Ma main passa dans sa nuque comme si je voulais m’accrocher à elle et ne plus jamais la lâcher. S’il ne dura que quelques secondes, le baiser avait un goût d’éternité. Je ne voulais me résoudre à m’éloigner mais je finis par me détacher d’elle, lentement. Nous n’avions rien besoin de dire. Ses yeux parlèrent à sa place, évoquant une promesse, un avenir, un jour nouveau. Un sourire vint se faire sa place sur mon visage et, si je me sentis bête, je vis Rachael en faire de même. Qui disait que l'amour rendait idiot ?

1123 ; Domhnall a 27 ans.
Les batailles n’étaient pas une chose dont je raffolais. Surtout depuis qu’il y avait Rachael dans ma vie. Je ne voulais pas quitter le château trop longtemps, et qui pouvait dire si j’allais revenir ou non ? Quoi qu’il en fût, j’étais plus spécialisé dans la confection d’armes que dans le combat ; même si je me débrouillais pas mal, évidemment. Quand on est de la lignée royale d’un clan, c’est relativement une obligation. Mais je me retrouvai ce jour-là sur le champ de guerre. J’avais du mal à réaliser depuis combien de temps nous y étions, mais une chose était certaine : j’étais épuisé, blessé, et la cible d’un ennemi qui, de toute évidence, avait la ferme intention de me tuer. Il aurait pu se défouler sur d’autres soldats mais non, il semblait vouloir en finir avec moi. Les seuls moments de répit que j’arrivais à avoir contre lui me permettaient de m’éloigner un peu, mais un peu et un peu me firent bientôt arriver à la lisière de la forêt, dans laquelle je ne tardai pas à m’enfoncer. Je commençais à avoir une certaine distance avec le champ de bataille et ça n’était pas pour me ravir. Le bonhomme pouvait bien me tuer ici, personne n’en saurait rien. Mais j’étais trop épuisé pour arriver à le contourner et le battre sur le terrain. L’ayant quelque peu distancé, je m’autorisai quelques secondes de répit. Ma respiration était bien trop saccadée et mon bras gauche me lançait atrocement. Une épée avait sifflé sur son côté et j’allai rapidement avoir besoin de bandages. J’entendis ses pas et me cachai derrière un grand tronc d’arbre. C’était qu’il ne me lâchait pas, le bougre ! Peut-être m’avait-il reconnu ? Quoi qu’il en fut, lorsqu’il arriva et dépassa mon arbre je m’élançai vers lui en criant, ma hache fouettant l’air. Elle se planta dans son dos et l’homme tomba sur le sol parsemé de feuilles mortes et de boue. Je restai bête un court instant, réalisant que j’en étais venu à bout. Mais je m’écroulai à mon tour, sans force, sans bandage, sans moyen pour retourner hors de la forêt. Je ne saurais dire combien de temps je restai inconscient, mais lorsque j’ouvris les yeux, il me sembla être à bord d’une charrette qui avançait. Ou plus exactement, dans une… grande cage. Et je n’étais pas seul. Je tentai de me redresser mais j’eu du mal. La première chose que je regardai attentivement fut mon bras, qui était entouré de bandages, finalement. Quelqu’un avait dû s’en occuper. Mais pour que je sois faible ainsi, je devais avoir perdu beaucoup de sang. Peut-être même que je n’avais pas mangé depuis des jours. Mais une chose était relativement sûre : j’étais en vie. Où, et avec qui, c’était une autre histoire. Prenant appui sur mon bras droit et m’aidant de mes jambes, je finis par relever le dos et me redresser contre les barreaux en fer, non sans une grande inspiration et une grimace. Je n’eus pas le temps de jeter un coup d’œil aux autres personnes étant enfermées avec moi que je sentis un coup sur un des barreaux dans mon dos. Me retournant tant bien que mal, je pus distinguer une femme d’une quarantaine d’année à cheval, le visage dirigé vers moi. « Alors dormeur, on est réveillé ? T’agite pas trop. » Je fronçai les sourcils. Déjà, que faisais-je dans une cage ? Qu’était-il arrivé après la bataille ? Ne m’avait-on pas trouvé pour me ramener au château ? Bien sûr que non… Qui aurait eu l’idée de me chercher dans cette forêt ? « Où sommes-nous, qui êtes-vous, et que fais-je… là-dedans ? » La bonne femme me jeta un coup d’œil qui en disait long quant à son intérêt pour mes questions. Elle secoua la tête et resta muette un moment. Et puis elle consentit finalement à tourner la tête vers moi. « Nous sommes un peu plus au Nord. Nous n’avons pas de nom, nous ne sommes personne, et ce que tu fais là-dedans, comme les autres voyons. » Je ne compris pas de suite ce qu’elle voulut dire par-là. Je me résignai à reprendre ma position, mais en regardant à nouveau l’intérieur de la cage, je pus cette fois remarquer nos pieds ; les miens, et ceux de toutes les personnes qui l’occupaient. Menottés. Je me retournai vers les barreaux avec un air interrogatif mais je n’eus le temps de poser la moindre question. « J’sais pas qui t’es mon bonhomme mais ici t’as le même statut que n’importe qui. Estime-toi déjà heureux qu’on t’ait trouvé et qu’on ait soigné ton bras. D’ailleurs, t’as dormi trois jours. » Je levai un sourcil, restant bête quelques secondes. Mais j’étais bien trop éreinté pour répliquer quoi que ce fut, protester, me manifester, ou vouloir m’en aller par quelle que manière que ce fut. Je ne pouvais que me résigner à avancer dans cette calèche qui allait je ne savais où, avec des personnes que je ne connaissais pas et qui de toute évidence, n’avaient pas l’air des plus amicales. Nous continuâmes d’avancer jusqu’au coucher du soleil où nous nous arrêtâmes dans une petite clairière abritée par de grands arbres. Seulement alors, on consentit à ouvrir notre cage. A peine en fus-je sorti que l’on me lança un grand tissu dans les bras et des barres à mes pieds. « Monte la tente. » Ce n’est qu’à ce moment que la chose m’apparut : dans une cage, les pieds liés, à recevoir des ordres ; nous n’étions ni plus ni moins des esclaves.

Nous continuions d’avancer. Chaque jour, nous nous arrêtions à la tombée de la nuit pour établir un camp qui serait déserté le lendemain. Si nous étions nourris et relativement bien entretenus, nous exécutions toutes les corvées et on nous parlait comme à des moins que rien. J’avais évidemment pensé à m’échapper. Mais nous étions surveillés et surtout, avec des pieds enchaînés, c’était loin d’être aisé pour courir. Au début, j’étais complètement dérouté. Était-ce là mon avenir ? N’allais-je jamais revoir les miens ? Qu’allaient-ils en penser ? Me déclareraient-ils mort ? Et Rachael, qu’allait-il advenir d’elle ? Serait-elle renvoyée chez les Seton ? A cette pensée, mon cœur se serra violemment. Mon plus grand regret était celui-ci ; être séparé d’elle. Ne plus voir son visage. L’imaginer espérer mon retour, qui n’arriverait pas. Les premiers temps, c’était cette image qui me donnait l’espoir de réussir à m’échapper. Mais plus les semaines passaient, plus je me faisais à l’idée que cela m’était impossible. Avec un peu de chance, nous ferions le tour du pays et repasserions près du domaine Hay. Là, j’allais peut-être avoir une chance de m’en sortir. Mais ce n’étaient que suppositions. J’étais devenu Dom, le silencieux. Je ne parlais presque jamais, sauf pour répondre aux questions qu’on me posait. Eventuellement, j’échangeais avec les autres esclaves. Mais peu de fois je voulus adresser la parole aux vagabonds. Au bout de quelques mois, mon bras avait récupéré. Ne restait qu’une laide cicatrice qui me rappelait ce que j’avais enduré ; même si de temps à autres, je ressentais quelques douleurs dans mes muscles. Rien de bien méchant, mais c’était assez désagréable. Et cela montrait bien que j’avais été soigné à la bonne franquette. On me trimbala presque une année entière. J’avais perdu tout espoir. J’avais le visage fermé, je n’étais point avenant, je ne rechignais même plus dans les tâches que je devais accomplir. Je n’espérais même plus que Rachael fût encore au château, dans l’hypothèse où je parvenais à m’échapper. Je me traînais, mon âme me quittait, et je ne pensais plus à rien. Si l’on essayait de me connaître, je n’apprenais jamais rien de bien important sur mon compte. Des fois que l'un d’entre eux fut réfractaire aux Hay voire aux MacGuffin, mieux valait prendre mes précautions. Les mois passaient sans que je n’en visse la fin. Oh, je ne m’étais pas attaché au groupe, et encore moins à cette nouvelle vie, mais lorsqu’on ne voit aucune échappatoire, il est difficile de penser autrement. Je ne me souvenais même plus depuis quand je m’y étais résigné. Tout ceci m’avait paru tellement futile, improbable, et temporaire au début que je ne m’en étais point soucié outre mesure. Et évidemment, je m’étais rendu compte que je n’allais plus revoir les miens. C’était à ce moment-là que mon âme avait décidé de me laisser seul, m’abandonnant à ma tristesse et mon sort incertain.

Cela se produisit alors que nous nous arrêtions une nouvelle fois, en début de soirée. Je vis un petit couteau tomber d’une pochette remplie de fines armes appartenant à l’un des vagabonds. L’objet atterrit au sol sans un bruit, et je jetai un regard alentour pour m’assurer que personne d’autre ne s’en était aperçu. Cela pouvait jouer en ma faveur. Je me rapprochai du couteau et m’arrêtai quand on me lança la tente pour que je la mette en place. Je feignis la maladresse pour qu’elle tombe à mes pieds, afin de récupérer la petite arme sans qu'on ne le remarque. Je le plaçai entre mon pantalon et ma peau, dans le dos. La soirée me parut bien longue, à présent que tous mes sens s’étaient réveillés. J’étais à l’affut du moindre mouvement et de la moindre possibilité de fuite. Finalement, je me résignai à attendre la nuit, que tous soient endormis. Il y avait toujours le vagabond de garde mais je pouvais encore le contourner. Les arbres pouvaient me servir d’abri. J’avais les yeux grands ouverts, écarquillés, patientant le temps qu’il fallait. Lorsque chacun sombra dans le sommeil, je me mis à observer l’homme assis autour du feu établi. Je m’assurai que Morphée eut emmené profondément le clan dans ses bras, puis je me redressai. Il était déjà tard dans la nuit et je supposai avoir attendu assez longtemps. Je récupérai le couteau et le glissai dans la fente des menottes afin de les ouvrir. Je limitai le bruit des chaînes au maximum jusqu’à entendre un « clic » sec, provenant de la serrure de l’objet métallique. Alors le plus lentement possible, je l’ôtai de mes chevilles et le laissai là, dans l’herbe. Je jetai un coup d’œil alentour pour m’assurer que je n’avais réveillé personne. Mais la chance me souriait jusque-là. Je replaçai le couteau dans mon dos puis me levai ; l’homme était dos à moi de trois quart, et je me glissai jusqu’à un arbre derrière lequel je me cachai. Les nuages étaient présents cette nuit-là et empêchaient la lune d’éclairer la scène. Je passai ainsi d’arbre en arbre, dessinant un demi-cercle loin autour du feu. Et lorsque j’eus mis assez de distance entre le camp et moi, je me retournai et accélérai le pas. Je n’avais pas de temps à perdre. J’avais déjà repéré le nord du sud lorsque le couteau était tombé en début de soirée, quand le soleil s’était couché ; je savais donc où me diriger. Tout ce que je savais était que nous étions au nord du territoire des MacGuffin. Je n’avais donc qu’à descendre. Les premières heures, je marchai d’un pas rapide, afin de m’assurer pouvoir semer les vagabonds dans le cas où ils s’étaient vite aperçus de mon absence et des chaînes au sol. Lorsque le jour arriva, je ne ralentis point la cadence ; j’étais encore plus repérable avec la lumière de soleil, évidemment. Je ne m’arrêtai que rapidement pour cueillir quelques fruits et plantes, histoire d’avoir quelque chose sur l’estomac. Ce ne fut que le lendemain que je consentis à me poser un moment. Si j’étais poursuivi, je l’aurais déjà su. Je tombai sur une petite étendue d’eau qui me permit de me rafraîchir et me débarbouiller. Les jours se déroulaient ainsi : je couvrais un maximum de terrain et ne m’arrêtai que pour subvenir à mes besoins. J’avais la chance de tomber régulièrement sur des végétaux comestibles, à défaut d’avoir de la viande pour me donner des forces. De rares fois, je réussis à tuer de petits animaux que je passai à la broche au-dessus d’un feu que j’étais parvenu à faire partir. J’avais perdu le compte des journées qui s’écoulaient mais étais confiant dans mon avancée. Question orientation, j’vais toujours été plus ou moins bon. Petits, on nous apprenait à nous repérer grâce au soleil et aux étoiles. Et je devais bien me remercier aujourd’hui pour y avoir été attentif. Je ne dormais pas beaucoup et lorsque j’y consentais, il était difficile de fermer l’œil réellement. Lorsqu’on est seul ainsi dans la nature, ne pas s’inquiéter de ce qui nous entoure est relativement impossible. Et puis, j’étais rarement confortablement loti, pour tout avouer. J’arrivai enfin sur des terres qui m’étaient familières. Les paysages changeaient assez en fonction des régions et ce fut un soulagement de me sentir prêt du but. J’étais faible, fatigué, éreinté, et ne savais pas encore comment redonner des couleurs et de la vie à mon visage. Tous ces mois à me traîner, et être certain que j’étais condamné à une vie d’esclave, sans avoir l’opportunité de revoir les miens, de revoir Rachael, m’avaient bien trop marqué, finalement. Mais Rachael, était-elle encore là ? C’était ma plus grande crainte. Cependant, après autant de temps, il eut été normal qu’elle retourne chez les Seton, ou que son père lui eut trouvé un nouveau parti. A compter de ce moment, les journées m’eurent l’air plus courtes, comme si l’excitation de retrouver le château y était pour quelque chose – ce dont au final je ne doutais guère. Et puis je reconnu réellement le panorama. J’avais déjà foulé ces terres et je savais désormais où me diriger plus précisément. Je me retins de courir tellement j’eus envie de rentrer et montrer que j’étais en vie. Mais je n’en eus point la force. Et puis un matin, alors que le soleil se levait, je dépassai une colline. Il était là. Le château m’attendait, m’appelait, me faisait face, au loin. Je ne pouvais qu’avancer, espérer pour de bon, me dire que cette année était derrière moi, à l’image d’un mauvais rêve dont je ne pouvais me sortir immédiatement, que je devais vivre inlassablement. Si j’en avais eu la capacité, je me serais écroulé là, sur les genoux, pleurant pour ce retour improbable. Mais je ne pouvais que continuer ma route, toujours tout droit, ne lâchant pas la bâtisse des yeux. Je rentrais ; j’étais en vie.


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Dernière édition par Domhnall Hay le Mar 19 Fév - 14:50, édité 19 fois
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Rachael Seton
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Libera me, Domine, de morte æterna, in die illa tremenda, quando coeli movendi sunt et terra, dum veneris iudicare sæculum per ignem.

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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyDim 3 Fév - 21:16

OH OUI FIDÈLE A MOI. :laugh: :huhu:
Ta fiche va dépoter, voilà. :own:
REBIENVENUE MA POULE. :red:
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Eireen Dunegan
Eireen Dunegan

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Woman ? Is that meant to insult me ? I would return the slap,
if I took you for a man.
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I want to weep. I want to be comforted. I'm so tired of being strong. I want to be foolish and frightened for once. Just for a small while, that's all. A day. An hour.

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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyDim 3 Fév - 21:20

Oh qu'il est beau :luv:
(oui c'est tout ce que j'ai à dire d'intelligent What a Face)
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Domhnall Hay
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« Elle s’est emparée de mon cœur et l’a mis à l’abri, dans un endroit dont elle seule connait le secret. »
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyDim 3 Fév - 21:24

Rach' d'amouuuuur, MERCI smile Mais ouais chui fidèle à toi, qu'est-ce tu crois superman ♥️
Ririiii, merci :own: Mais que tu es belle ma soeur sur ce nouveau vava :bril:
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Cailean Findley
Cailean Findley

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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyLun 4 Fév - 18:30

Après Momon, nous avons droit à Dodo What a Face toujours aussi seksy cela dit ! Bon courage pour ta fichouze, tu connais déjà la maison, les admins et tout ce qui s'en suit de toute façon ::3:
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Domhnall Hay
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyLun 4 Fév - 18:32

Dis, oh What a Face C'est Domdom, pas Dodo, sinon Caicai devient Caca, hein smile
MERCIIII MA CAILLE :red: :hihi:
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Cailean Findley
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyLun 4 Fév - 18:34

Dodom à la limite, parce que Domdom je ne trouve pas ça très poétique ::3: Arrow et puis on m'a déjà appelé Caca en plus :boude:
BREYF continue à nous vendre du rêve :fire:
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Domhnall Hay
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyLun 4 Fév - 19:10

Wai t'inquiète ma cocote :fire: T'es adorable :own:
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Fillan Forbes
Fillan Forbes

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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyMer 6 Fév - 19:19

rebienvenue homme fort et valeureux et bonne chance pour ta fiche :rainbow:
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Domhnall Hay
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyMar 19 Fév - 14:55

MERCIIII FIFI :own: (un peu en retard, certes, hein smile )
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Rachael Seton
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyMar 19 Fév - 15:01

Meala naidheacht oirbh
Mes félicitations, tu es validé(e) !

AAAAAAA(...)AAAAAAAAAH. :fire: :fire: Ta fiche c'est d'la bombe en boite mais OMG cette histoire de fou, viens que je t'embrasse right noooow mon exfuturmari. :mrow: :fall: YOU KILL ME AGAIN. :vert: JE T'AIME ET JE TE VALIDE DONC. TU VAS ENVOYER DU LOURD AVEC CE NOUVEL OURS. :frfr: :fufuu:

Bravo à toi mon enfant, comme tu dois le deviner : tout est parfait pour que tu puisses tranquillement te balader sur les terres d’Écosse. Avant toute chose, il va falloir faire quelques petites manipulations. Et oui ! Alors, pour commencer, nous te prions s'il te plaît d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas te le faire sucrer, sans le faire nous ne pourrons pas mettre à jour le bottin. Pour continuer va donc faire un tour du côté des liens, qui sait ça pourra t'aider à forger des affinités pour ton personnage et dieu seul sait quoi d'autres ! D'ailleurs en parlant d'affinités, si tu as envie de créer un scénario, ça se passe dans ce petit coin sait-on jamais si l'envie te dit ! Et plus qu'un petit point à savoir, jette toi à l'eau en ce qui concerne le flood, y faire un petit tour pour bien s'intégrer et décompresser un petit peu.

Sur ce, tout le staff de WOTW te souhaite de bien t'amuser sur ce forum ! :v:
L’Écosse n'attend plus que toi. :huhu:

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Domhnall Hay
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MessageSujet: Re: Domhnall ☾ keep going.   Domhnall ☾ keep going. EmptyMar 19 Fév - 15:04

MERCIII MERCI MERCI :bril: :red: :puppy: :hihi:
Comme dit j'suis vraiment contente que ça t'plaise et pis HAHA PUTAIN J'AI ENFIN FINI QUOI *pardon* On va tout déchirer ma chouquette en sucre des bwa :fall: ♥️
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