nom ✘ MacIntosh. prénom ✘ Aodhan. clan ✘ MacIntosh. âge ✘ 33 ans. statut ✘ Marié et heureux. famille ✘ Fils aîné de feu Daivhid Macintosh et de son épouse Eleasaid ; possède un frère et une soeur ; marié à Moïra Macintosh de qui il a une fille, Eimhir Macintosh. métier/rang ✘ Chef du Clan MacIntosh. qualités ✘ têtu, souriant, optimiste, bavard, charismatique. défauts ✘ orgueilleux, cynique, impulsif, doté d'une mauvaise foi bluffante, perfectionniste.. loyal(e) envers ? ✘ Sa famille, son clan lui-même : les MacIntosh. groupe ✘ Western Highland. avatar ✘ Tom Hiddleston the great, the beautiful, the only one in my heart <3.

QUE PENSES-TU DE CETTE GUERRE ? Je suis né pour gagner cette guerre, je suis né pour régner sur l'Ecosse. Les plans de mon père étaient que je sois puissant, un excellent stratège et tireur à l'arc pour cette raison. Je ne peux donc pas le décevoir par excès de peur, de doute ou bien de tristesse. Non. Je suis la montagne, la guerre est le vent et quand ce dernier ne soufflera plus : je serai encore debout à la tête de l'Ecosse unifié. Cette guerre est nécessaire, tant qu'il n'y aura pas un roi le royaume n'ira pas bien. Je prendrai cette charge à bras le corps, cette guerre m'a déjà trop coûtée pour que je fasse machine arrière.
TU CROIS AUX LÉGENDES, À LA MAGIE ?Oui, oui je crois à la magie, des tas de choses nous arrivent sans savoir le pourquoi du comment de la chose. Les esprits existent, ils sont le symbole de nos ancêtres. La dent d'ours que m'a donné mon père est toujours autour de mon cou est le symbole de la force et du courage qui doit faire partie de moi, qui doit être mon nombre. Il faut respecter la mémoire de ses ancêtres, ces derniers nous entourent et nous aident. Ils m'aideront à prendre l'ascendant sur les autres clans et devenir celui que mon père à toujours voulut que je sois : roi d'Ecosse.
DES GOÛTS ET DES COULEURS, IL NE FAUT DISCUTER Je voue une passion pour le tir à l'arc et l'art de monter à cheval. Je ne dérobe jamais à la tradition de la balade matinale et nocturne avec mon cheval blanc : Fingal qui veut dire étranger blanc, car il n'est pas d'Ecosse. J'aime passer du temps avec ma fille même si ces derniers temps cela devient rare, la guerre m'obsède. Je le confesse, j'ai été élevé pour me battre alors enlever cette part de moi que l'on peut considérer comme la racine nourricière de ma vie est quasiment impossible même si ma délicieuse femme y arrive petit à petit. Je savoure chaque instant comme s'il était le dernier, le fait est que je me sens vivant sur un champ de bataille : je sais que ma mort sera sur ce dernier. Cette folie destructrice aura raison de moi, quand je commence à créer un stratège je suis enfermé pendant des heures voir des jours à ne pas voir la lumière et à ne pas manger. Cette guerre aura ma mort, mais la mort n'est-elle pas le nerf de la guerre ?
ET DANS DIX ANS ? Roi d'Ecosse, avec ma fille près de moi et ma femme avec pourquoi pas un autre enfant. Je veux que les MacIntosh dominent les autres, seul nous pouvons prétendre au trône. Je me vois toujours aussi avide de gagner la guerre, d'instaurer une paix dans mon royaume, de faire en sorte que mon peuple soit heureux et qu'il ne manque de rien. Je me vois vieux, hargneux, protecteur envers ma fille et agressif envers ses futurs prétendants : même si elle aura le soin de choisir son mari.

Des cris, des cris d'un nouveau né, d'un enfant qui sent l'air emplir ses poumons pour la première fois. A peine né, on l'arracha à sa mère. Son père dans la salle de trône attendait patiemment. Il n'était pas le genre d'homme à se laisser aller à ses sentiments. Certes il aimait bien sa femme, mais elle devait donner un héritier pour asseoir sa position. Les hommes qui avaient pris l'enfant, arrivèrent avec un visage impassible.

« Mon Seigneur.
-Alors ?
-C'est un garçon, les esprits sont unanime : il sera Roi d'Ecosse. »

Soupire de soulagement de la part d'un père qui avait été éduqué dans la guerre. Enfin, enfin le sang versé ces dernières années n'auraient pas été vain : enfin les MacIntosh auraient la place qu'ils méritaient dans ce pays. Daivhid se leva pour s'approcher du nouveau né : pas d'embrassade, pas de câlin juste ces quelques mots exprimer non sans une pointe fierté :

« Aodhan MacIntosh, vous serez Roi d'Ecosse par la volonté des Dieux. »

Les attentes de plusieurs générations reposaient sur ses épaules alors même qu'il tétait encore le sein de sa nourrice. Pas d'amour pour ce jeune enfant, selon son père cela ne pourrait que le rendre faible or personne ne peut gouverner un royaume s'il est faible. Il reçut peu de temps après sa naissance la dent du premier ours tuer par son père dans l'espoir que tel l'animal, cette dent lui insuffle la puissance, l'honneur, le courage et la loyauté. A peine sur ses jambes, qu'on mit dans ses mains un arc à peine plus grand que lui tailler dans les bois d'un cerf chassé dans le domaine : symbole de roi, symbole de la force. Pour Daivhid, Aodhan devait être parfait, le meilleur dans toutes les catégories peu importait les sacrifices à faire. Quand il fût doté de la parole, on éveilla son esprit en l'instruisant au jeu de Roi ce qu'on appellerait de nos jours les échecs. Pas un seul moment de son enfance est laissée au hasard. De son levé, jusqu'à son couché il avait quelque chose à faire. Le jeune Aodhan, âgé de cinq ans, n'avait que sa préceptrice pour évader son esprit. Tamara de son nom, elle lui apprenait la littérature mais également la mythologie grecque, le latin pour qu'il sois un homme accomplit.
Tamara inculpait au jeune prince des idéaux de paix, de tolérance, de fraternité entre les peuples, elle lui apprenait à s'ouvrir, à dévoiler ses sentiments, à aimer. Chose extrêmement dangereuse et Daivhid l'avait rapidement comprit. Mise à l'écart avec un kidnapping monté de toute place qui se solda par une pendaison sur la place publique, elle laisse un petit garçon triste à en mourir. Il avait vu le corps de cette femme qui l'apaisait pendre au bout d'une corde. La seule amie qu'il avait, la mère qu'il n'avait jamais eu. Eleasaid n'avait jamais osé dire à son mari qu'elle aurait elle-même aimé allaiter son fils, lui apprendre les rudiments de leur culture en outre être dans sa vie. Aodhan à un grand respect pour sa mère mais à part le lien filial : rien ne les liait. Ce n'était pas digne d'un prince de ressentir des sentiments envers ses parents : dixit Daivhid. De nouveau seul, le jeune prince n'a plus d'échappatoire et pour oublier Tamara se plonge dans les entraînements. Enfouir cette douleur par la colère, par l'effort physique. A seulement huit ans, à raison de 5h d'entraînement par jour à l'épée, 5h au tir à l'arc : l'enfant devient rapidement une mini-arme de guerre. Aodhan, devenu de plus en plus perfectionniste, lisait la nuit à la lumière des chandelles jusqu'à ce que sa nourrice l'oblige à se coucher. Son nom, sa réputation traversa les frontières, digne descendant de son père, prêt à tout pour prendre le trône d'Ecosse. C'est à compter de cet instant qu'il décida de porter bravement son nom, d'être digne de ses ancêtres et de ne jamais faiblir devant l'adversité.


« Aodhan, venez saluer votre frère et votre soeur. »

Un regard de glace, quel était cet enfant au visage terne et fermé ? Il n'avait que huit ans après tout, ce visage devait accueillir des sourires, des rires et non pas des lèvres pincées et des sourcils froncés. Aodhan regarda son père qui inclina sa tête pour lui donner l'autorisation. Il s'approcha donc de ces deux bébés. N'osant pas les toucher, il se permit néanmoins un sourire, car il était dos à son père.

« Félicitation mère, je suis heureuse de vous voir encore en vie. »

Il s'inclina respectueusement, baisa sur le front les jumeaux avant de repartir avec son maître d'arme qui avait accepté de faire une pause pour qu'il puisse voir sa mère. Pas de répit pour le prince héritier, au moins, Aodhan était content de savoir que son frère et sa soeur n'auraient pas ce poids de perfection sur leur dos ou tout de moins de façon minime. Puis, il devait l'avouer, mais il était heureux d'avoir un frère et une soeur, peut-être que ses nuits seraient moins en proie au cauchemar.

« AODHAN CONCENTREZ-VOUS ! »

Une baffe mit à terre l'enfant de 11 ans, sa mère à côté regardait la scène impuissante avant de faire sortir son frère et sa soeur. La raison de ce coup était légitime : il avait baissé sa garde pour pousser sa petite soeur qui venait entre son père et lui. Aodha se releva quasiment immédiatement.

« Je l'ai fait pour la protéger ! »

Encore une, il se releva de nouveau instantanément, attrapa son épée et défia son père au combat. Crise d'adolescence sûrement même si ce terme était alors inconnu, il venait d'apprendre qu'il serait marié de force dans quelques années. Aodhan ne voulait pas entendre parler de ce projet, il avait peur, peur de s'attacher de nouveau à une personne du sexe opposée et que cette dernière ne meurt !

« Vous osez défier votre père ?!
-J'oserai défier tout ceux qui sont une menace pour ma famille même si cela veut dire vous défiez ! »

Daivhid souriait doucement, première fois depuis 10 ans comme s'il était enfin satisfait :

« Tu as retenu la leçon mon fils. »

Puis il emboîta le pas de sa femme et de ses deux derniers enfants laissant Aodhan avec son maître d'arme : la joue en feu et les poings serrés. Son maître n'attendit pas et l'attaqua de dos assommant de nouveau le jeune garçon. Pendant un certain temps, on lui interdit de voir son frère et sa soeur, pour l'endurcir, pour le préparer au combat, à partir à la guerre : son père ordonna pendant quelques temps qu'il soit nourri au pain sec et à l'eau.

« Ce n'est que lorsque on est privé de tout que l'on connaît la valeur des choses. »

Pas de pitié chez les MacIntosh, peu importait pour son père : son fils devait être parfait, car il serait roi d'Ecosse. Il eut pour ordre de former son frère, chose qu'il ne voulait pas faire, mais les moyens de persuasion de son père étaient nombreux et tous plus méchants que les autres. Aodhan portait déjà sur son corps les marquent de ces derniers. Finalement, il prit cette charge en se disant qu'il valait mieux que cela soit lui qu'il l'entraîne plutôt que leur père. Malgré tous les efforts de l'aîné, le cadet n'y arrivait pas et on ne pouvait pas le blâmer. A l'image de son père, des entraînements qu'il a vécu : Aodhan était dur, très dur avec son frère ne lui laissant rien passer. Un jour en voyant que son frère mettait du temps à se relever, il le releva violemment.

« Allez, Cine. Père te regarde ! S'il te plait... Fais...Fais un effort. »

Aodhan essayait de le motiver ainsi, il devait être fort, il devait être bon, il devait être excellent comme lui. Si jamais il venait à mourir cela serait à Cinead de prendre le flambeau : il n'avait pas le droit à l'erreur ! En voyant son frère prendre son courage à deux mains, Aodhan ne pouvait s'empêcher d'être fier de lui. Leur soeur arrive pour se placer à côté de leur père, même concentré sur cela : l'aîné n'eut pas de mal à éviter Cinead. De nouveau dans la boue, le sifflement de leur père parvient. Combien de fois l'avait-il entendu. Il soupira et releva son frère tandis que leur soeur arrivait avec des épées en bois. Elle leur demanda de se mettre en garde ce qui fit sourire Aodhan qui était un autre homme une fois son père partit, enfin dans les grandes lignes :

« Père va te punir d’avoir volé dans la réserve du professeur. Et de t’être entraîné. Tu sais très bien que cela t’ai interdit. »

La tradition était la tradition bien qu'il estimait que les femmes aussi devaient savoir se battre comme chez les Spartiates, comme lui avait répété Tamara... il allait encore avoir des ennuis, c'était certain, mais face au visage de sa soeur il ne résista pas longtemps. Néanmoins, lorsque son nom fut crié, les rires s'arrêtèrent. Responsable des jumeaux, Daivhid était resté finalement pour voir ce qu'allaient faire la fratrie se doutant bien que sa fille apprenait à se battre en cachette. Pour cette petite bataille : il reçu deux gifles faites avec le gant de l'armure de son père, que ce dernier avait prit soin de mettre :

« Vous savez les règles pourtant. Nous vous attendons au campement ce soir. Ne soyez pas en retard ! »

Daivhid quitta l'endroit en montant sur son cheval et accompagner de ses hommes de mains, partit pour le campement. Aodhan s'était incliné respectueusement : il n'avait plus envie de se rebeller. Son père avait raison comme toujours, il avait mérité ces coups. Le soir-même il était partit pour le royaume des DunBroch pour tenter de gagner la main de Mérida. Malgré le potentiel d'Aodhan au tir à l'arc, ce dernier n'était pas assez en forme. Les heures d'entraînements, la vie draconienne que son père l'obligeait à mener avait eu raison de lui. Au moment de bander son arc, son bras le lâcha, elle n'atteignit même pas la cible et épuisa le jeune prince qui tomba à genoux. Pas besoin de regarder son père pour savoir au combien ce dernier était déçu, le poids de son regard le perçait de toute part. Il avait perdu. Par respect, il porta le deuil, mais au fond n'en avait rien à faire de la Reine de DunBroc, car à ses yeux il y avait plus grave. Il n'était pas digne de son nom de famille. Sur le trajet du retour il n'y eut pas un mot entre les hommes. Ce n'est qu'une fois au château que Daivhid s'énerva.

« Comment avez-vous pût rater cette cible ?! Vous qui êtes notre meilleur archer ?!
-Je n'avais plus de force père.
-Ce n'est pas une question de force ! Hors de ma vue ! »

Ces mots blésèrent profondément Aodhan qui s'inclina avant de sortir et de descendre à la salle d'arme pour se battre avec les hommes de son père, pour les réduire en bouillie, pour les tuer, pour calmer sa folie meurtrière d'avoir déçu son père, de ne pas avoir été digne de ses ancêtres. Dès le lendemain on le présenta à Moïra MacDonald.


On lui présenta Moïra, elle ressemblait tellement à Tamara qu'il dût paraître froid à leur première entrevue. La même peau, la même chevelure, ses yeux de glaces qui perçaient son armure... Il se maria à Moïra la même année pour rallier une famille de plus à sa cause, pour gagner des terres et de la notoriété pourtant, dès le premier soir : la jeune femme à sût apaiser les nuits d'Aodhan qui n'étaient en proie qu'à la douleur, à la haine, mais surtout au manque d'affection. Malheureusement, le mariage avec sa femme fût sous le signe du deuil. Davhid MacIntosh meurt en 1111. Aodhan n'était pas triste pour autant, bien au contraire : il se sentait libre. Cela voulait dire beaucoup de choses : tout d'abord qu'Aodhan était maintenant chef de ce clan, le protecteur de sa famille mais également le chef des terres qui sont parvenues jusqu'à lui.. Une lourde responsabilité, mais il était prêt, il était plus que prêt. Son père n'étant plus là, Aodhan reprit en main l'éducation de Cinead, la succession devait être assurée si jamais il venait lui aussi à mourir. Mieux valait ne pas tenter le diable et mettre toutes les chances de leur côté. Moins dur que l'était leur père, il était néanmoins intransigeant avec son frère.C'est cette même année que naquit son rayon de soleil, sa chère et tendre fille Eimhir aussi belle que sa mère. Il devait se battre sous plusieurs fronts en tentant de laisser le moins possible de côté sa famille, mais les affaires d'état étaient très prenantes. Les alliances allaient tomber comme lui avait dit son père. Les trois chefs de clan demandèrent la tenue d'un conseil pour définir le statut de Mérida qui ne pouvait décemment pas être reine d'Ecosse. Si Fergus était respecté : il allait être difficile pour Aodhan d'accepter comme souveraine cette femme qu'il n'estimait pas digne de cette place. Il mettra deux nuits à rédiger la déclaration de guerre sans en parler à son épouse qu'il savait contre. Malheureusement, il était devenu le portrait craché de son père et le fait d'être devenu chef n'arrangeait pas les choses. Dingwall et les MacGuffin firent de même commençant : "la Guerre des Quatre " pour le trône d'Ecosse.
C'est durant cette guerre que quelque chose se brisa entre les deux frères, en effet Cinead avait par inadvertance tué une jeune fille. Elle était habillée, avait la même coupe qu'un homme : même Aodhan aurait confondu, mais ce n'était pas le cas. Alors que l'aîné voyait son frère sombrer dans le désespoir, il se trouva impuissant. On ne lui avait jamais apprit à consoler les gens, on avait lui apprit à les tuer, abréger leurs souffrances, mais jamais à être gentil et compatissant bien que Moïra lui apprenait petit à petit. Après ce terrible assaut qui avait coûté la vie à plusieurs de ses hommes, il suivit son frère dans la forêt, mais sa maladresse empira les choses. Il l'avait sentit, il devenait comme leur père et lorsqu'il fit demi-tour avec son cheval : comprit qu'il devait monter sur le trône d'Ecosse coûte que coûte, pour arrêter tout cela. La guerre continuait, le sang d'innocent était versé tous les jours sans qu'Aodhan ne puisse rien faire. Il passait ses journées et ses nuits à trouver une solution fuyant le lit conjugal, ne se réfugiant plus dans les bras de sa femme ou bien rarement. Les années passaient et avaient fait de lui un homme encore plus dur que son père bien que plus tendre notamment avec sa fille, son frère et sa soeur. Sa fee ne cesse d'essayer de le changer, de le rendre plus clément qu'il ne l'est. Si elle a déjà réussit à le changer, Aodhan ne peut pas renier qui il est. Éduqué pour devenir roi d'Ecosse, il ne peut pas faire demi-tour, il ne peut pas baisser les armes ayant trop peur que les autres clans arrivent pour décimer sa famille. Les nombreuses querelles avec son épouse le blesse profondément, se rendant compte trop tard de l'erreur qu'il fait. Cette part de lui est sa bête noire. Alors, quand les chandelles sont éteintes: Aodhan pleure, cri, frappe tout ce qu'il trouve jusqu'à ce que sa chère et tendre femme ne vienne le calmer, car seule elle le peut.

pseudo ✘ Rockette Queen. prénom ✘ Ingrid. âge ✘ 21 ans. où avez-vous trouvé le forum ? ✘ par une chère et tendre amie de forum qui me l'avait donné lors de sa construction. comment le trouvez-vous ? ✘ mon avis n'a pas changé : je le trouve toujours aussi beau. présence sur le forum ✘ 5j/7. autre chose à dire ? ✘ Tu vois, je t'avais promis que je viendrai <3.

Comme j'ai pu te le dire ma bichette, je pense que tu as totalement cerné le personnage, totalement obsédé par cette guerre, devenu même un peu comme Daivhid. J'adore aussi l'attachement à la famille, m'fin, j'ai rien à redire. Je suis contente vraiment, et donc je te valide avec grand plaisir.

Bravo à toi mon enfant, comme tu dois le deviner : tout est parfait pour que tu puisses tranquillement te balader sur les terres d’Écosse. Avant toute chose, il va falloir faire quelques petites manipulations. Et oui ! Alors, pour commencer, nous te prions s'il te plaît d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas te le faire sucrer, sans le faire nous ne pourrons pas mettre à jour le bottin. Pour continuer va donc faire un tour du côté des liens, qui sait ça pourra t'aider à forger des affinités pour ton personnage et dieu seul sait quoi d'autres ! D'ailleurs en parlant d'affinités, si tu as envie de créer un scénario, ça se passe dans ce petit coin là sait-on jamais si l'envie te dit ! Et plus qu'un petit point à savoir, jette toi à l'eau en ce qui concerne le flood, y faire un petit tour pour bien s'intégrer et décompresser un petit peu.

Sur ce, tout le staff de WOTW te souhaite de bien t'amuser sur ce forum !
L’Écosse n'attend plus que toi.