nom ✘ ramsay. prénom ✘ lyanna catrina. clan ✘ macleod. âge ✘ dix-huit ans. statut ✘ célibataire. famille ✘ un père chevalier, vassal des macloed, quatre frères qui suivront sûrement le même chemin, et une mère au foyer. métier/rang ✘ laidy's maid de saoirse macleod. qualités ✘ ambitieuse, accessible, souriante, sensible, attentionnée - parfois (aa) -, joueuse. défauts ✘ enjôleuse, manipulatrice, égoïste, obsédée par son apparence, orgueilleuse - impatiente.loyale envers ? ✘ les macleod, les dunbroch, et ma famille. groupe ✘ écrire ici. avatar ✘ holliday grainger.

QUE PENSES-TU DE CETTE GUERRE ? Je n'aime pas la guerre. Mes frères ont dû aller au combat. L'un d'eux a manqué de perdre son oeil. Non, je déteste vraiment la guerre. Elle ne fait que séparer les fidèles, et puis elle dure depuis si longtemps... Elle n'apporte que souffrance, malheur, et mort. Puis, le principe de la guerre à lui seul me déplaît. Mais après tout, vu qu'ils ne sont pas décidés à arrêter leurs petites chamailleries stupides... Je suis pour les Drunbroch, et les Macleod, mon père leur ayant juré allégeance.
TU CROIS AUX LÉGENDES, À LA MAGIE ? Je crois en Dieu. Et je crois en la magie. Pour moi, rien n'arrive par hasard. Si je suis telle que je suis, ce n'est pas un hasard. Si je suis née sur ces terres, ce n'est pas non plus un hasard. Ma famille, mes frères, mes parents, même mon nom. Rien n'a été fait par hasard. Et puis, ma mère m'a juré plusieurs fois d'avoir vu un feu-follet, ce dernier l'ayant guidé jusqu'à mon père la nuit... Où j'ai été conçue. La nuit où leur seule fille a été conçue. J'y crois. Je ne romps jamais le pain ou les biscuits avec un couteau pour ne pas attiser la colère des Brownies, je panique à la vue de la moindre femme portant un voile semblable à un linceul, et je suis autant attirée qu'effrayée par les beaux chevaux d'un noir ébène.
DES GOÛTS ET DES COULEURS, IL NE FAUT DISCUTER J'aime broder, j'ai même un talent inné dans ce domaine d'après mon père et mes frères puisque depuis toute petite je m'amuse à broder leurs noms ainsi que le mien sur leurs mouchoirs. J'aime me baigner, dans les lacs et étangs, à l'abri des regards... Et j'aime aussi monter à cheval. Même si mon père, jugeant cela dangereux, ne m'a que très rarement laissé monter ma monture seule. Heureusement que les fleurs étaient bien plus à son goût et qu'il me laissait les manipuler à ma guise. J'aime aussi les belles robes, et les poudres ou tout ce qui peut d'une manière ou d'une autre améliorer mon apparence. Hum, en ce qui concerne mes goûts... Je suis allergique aux noix et fruits de mer tout comme je suis allergique aux chutes et blessures. Une éraflure sur mon visage suffit à provoquer une véritable crise de panique et de larmes de ma part... Alors j'ai tendance à éviter tout ce qui est susceptible de m'être néfaste physiquement d'une manière ou d'une autre.
ET DANS DIX ANS ? Dans dix ans... J'aurai quelques rides, je pense. Et cela ne m'enchante guère, au contraire. Mais, dans dix ans... Je serai aussi mariée. A un homme puissant, et beau de préférence. Un des meilleurs partis du royaume. Il me traitera comme une princesse, et me lèguera une partie de son pouvoir. Car oui, je souhaiterais être plus qu'une simple épouse soumise aux humeurs et envies de son époux. Je pense... Que j'aurai aussi des enfants ? J'espère que je donnerai rapidement un descendant car je n'ai pas très envie de me transformer en poule pondeuse, je tiens bien trop à ma santé et au peu de jeunesse qu'il me restera.

« Père ! J'épouserai un roi. Oui, j'épouserai un roi. Il sera puissant, beau et fort. Et moi, je serai reine. Et j'aurai tous les droits. Mère et toi serez fiers de m'avoir comme fille... Oui, j'épouserai un roi ! » Pour seule réponse, j'eus droit à un rire de mon père alors qu'il s'approchait afin de me prendre dans ses bras. « Et quel roi vas-tu donc épouser, princesse ? » Du haut de mes quelques centimètres, je me mis alors à réfléchir sérieusement... C'est vrai, quel roi pourrais-je bien épouser ? Le seul nom qui me vint en tête... Fut celui d'un roi dont ma mère me contait les légendes. Alors, je m'empressai de lui dire... Que ce serait l'un de ses descendants que j'épouserais. Son rire redoubla... Non, mon père n'attendait pas de moi que j'épouse un roi. Mais il n'attendait pas de moi que j'épouse un mendiant pour autant.

Mon père est un vassal, au service des Macleod. Nous avons nos propres terres, notre propre demeure, nos jardins, notre fortune... Je n'ai jamais manqué de rien. Ni moi, ni mes frères. D'ailleurs, je suis l'unique fille de la fratrie. Après quatre hommes, j'ai été le signal d'alarme. Comme quoi, ils avaient tout intérêt à éviter d'avoir d'autres enfants. Et de toute manière, ma mère commençait à se faire âgée. La pérennité de la famille n'était plus un problème... Bref, il n'y avait aucune raison d'engendrer d'autres descendants. Et puis, les femmes, comparées aux hommes, sont bien peu utiles, alors pourquoi tenter le diable et risquer d'en avoir une autre ? Car mes parents considéraient mon visage comme un cadeau divin... Qui ne se produirait pas deux fois. Or, une petite-fille dénuée de mes charmes ne leur serait aucunement profitable. Pas à souhaiter.

La fierté de père grandissait de jour en jour alors que mes traits s'affinaient, que mes beaux cheveux blonds s'allongeaient, que ma taille et mes formes se précisaient. Rapidement, je devins le petit trésor familial. Une poupée, aux cheveux d'or, à la peau douce et blanche comme s'il s'agissait de véritable porcelaine, et au regard céruléen, qu'il fallait protéger comme la prunelle de ses yeux. Mes frères me protégeaient, et en étaient presque à jouer à la poupée en m'utilisant comme modèle et en m'habillant comme il le souhaitait lorsque je ne pouvais pas encore réellement donner mon avis sur ma garde-robe, mon père me protégeait, et m'affichait dans ses bras, montrant mon doux minois à qui le souhaitait, et ma mère se vantait d'ores et déjà de la beauté future qu'allait posséder sa douce et tendre fille... Et s'imaginait tout ce qu'elle allait pouvoir en faire...

Et cet engouement se faisait de plus en plus important pour ne pas dire effrayant au fil des ans. Effrayant est le mot. « Je te l'ai déjà répété mille fois de la surveiller lorsqu'elle joue avec ses frères. De ne jamais les laisser seuls ! Elle aurait pu être défigurée... Te rends-tu compte de la gravité de ton acte ? Ton seul et unique travail est de t'occuper de ta fille, de son bien-être, et de faire d'elle une dame respectable ! Et... Enviable. Un bon parti. Or tu as échoué ! Elle... Son visage ! Son visage est ce que nous avons... Ce qu'elle a de plus précieux ! » Sa main avait volé pour atterrir sans tendresse aucune sur la joue de ma mère. Il l'avait frappée. A cause de moi. A cause de ma chute. Un peu plus tôt dans la journée, en jouant avec mes frères dans le jardin, j'avais trébuché et ma joue avait été blessée. Une longue éraflure. Du sang, et la peur qu'une trace de cette blessure reste à jamais gravée sur ma peau. Tous avaient paniqué. Et... Ma mère payait pour ma chute. J'avais alors dix ans.

Comme une idiote, après avoir assisté à cette scène, j'étais partie me réfugier dans la petite chapelle que père avait construite pour nous. Et j'avais prié. Des heures durant. « Seigneur... Je... Je vous en supplie, faites que je sois pour toujours très jolie ! D'accord... ? Très jolie, pour que plus jamais mère ne se fasse frapper ! Je n'aime pas voir père furieux après elle... » Prier pour une beauté éternelle. A cet âge. Quelle idiote. Mais, je ne voulais pas que mère se fasse frapper. Je ne voulais pas qu'elle ait à subir des coups par ma faute. J'avais chuté. Elle n'y avait été pour rien.

Le lendemain, je n'avais plus le droit de jouer avec mes frères dans le jardin. Interdit. Père l'avait décidé. Je resterais près de ma mère, ou d'une servante... Bref, d'un adulte. De préférence ma mère, tout de même. Il ne voulait plus me voir courir, ni sauter, ni quoi que ce soit. Tout ce qui était dangereux était à éviter. A dix ans... J'étais donc constamment surveillée. A regarder au loin mes frères s'amuser, sans pouvoir les rejoindre. Et s'ils souhaitaient m'emmener avec eux, c'était à de véritables prières et supplications qu'on assistait. Tout de même, lorsque je finissais par m'en mêler... Il leur donnait généralement son autorisation. Eh bien quoi ? Ma beauté était si importante à ses yeux... Alors, oui, je finis par l'utiliser même sur lui pour arriver à mes fins. Et j'y pris rapidement goût. Dieu ce que cela était simple d'obtenir ce que je désirais grâce à un simple regard, un simple sourire...

Puis, vint l'âge où éclosent les fleurs que sont les jeunes filles. Le regard des hommes ne fut plus le même. Si auparavant, on me regardait comme une enfant adorable... Désormais, c'était une femme désirable. Le comportement de mes frères changea aussi. Plus protecteurs. Plus agacés lorsqu'un homme me regardait. Comme s'il s'agissait d'un affront. Comme si les pensées de cet individu allaient être impures à mon égard. Moi, pauvre femme, je ne pouvais le comprendre aussi bien qu'eux. Du moins, à cette époque. La blessure ? Il n'en restait plus aucune trace. Mais, les conséquences qu'elle avait engendré... Quant à elles... Etaient restées gravées dans mon esprit, à tel point que... « Mère... MERE ! M-Mon... Mon visage ! Là ! Là ! Une blessure ! MERE ! » La moindre blessure, la moindre éraflure sur mon visage... Me faisait paniquer, crier, puis pleurer. Et si personne n'était là pour me calmer, alors cela pouvait se poursuivre jusqu'à ce que je perde connaissance, épuisée par mes sanglots et mon inquiétude – bien qu'infondée par moments. Mais... Infondée ou pas... Une blessure est une blessure. Petite comme grande... Elle peut m'être fatale. Être fatale à ce visage que je chérie tant. Et sur lequel toute la fierté de père et de mère repose. Oui, mon visage. Ainsi que mon intelligence, certes, mais elle aurait été inutile... Si je ne possédais ni ces traits ni ces yeux.

Des crises telles que celle-ci, il m'arrive d'en faire très souvent. Du moins, aussi souvent que je me blesse. Mais... Non, à y réfléchir, elles sont plutôt rares, puisque je ne me blesse que très peu. Mon visage est devenu mon trésor, un trésor que je chérie et que je polis de jour en jour pour qu'il garde ses charmes aussi longtemps que Dieu le souhaitera. Et... Dieu, je sais que jamais Dieu ne souhaiterait me voir détruite, ou totalement démunie... Oui, je suis sûr que Dieu préservera ce que je le supplie de préserver.

Je me rendais fréquemment à la messe. Cela plaisait à père, de me voir aussi pieuse... Et aussi de voir la réputation que cela me forgeait. Oui, ma réputation était et est toujours bonne. Jeune fille bien élevée, instruite, intelligente – bien qu'il y a certains aspects de ma personnalité que je préfère ne pas dévoiler... -, belle et pieuse. Je priais pour tout et pour rien, mais surtout... Je priais pour demander à Dieu de pardonner mes pêchés. User de sa beauté sur son prochain, le manipuler comme un vulgaire objet et ainsi arriver à ses fins... C'est mal. Je l'ai toujours su. Je le sais encore aujourd'hui. Mais je n'ai pas d'autres choix que de le faire. Et puis, je... M'y plais, dans ce rôle. Dieu m'a donné une arme. Et j'en use. D'une manière bien mauvaise, soit... Mais, je suis sûr que Dieu saura me le pardonner.

Pourquoi ne suis-je toujours pas mariée ? Parce que mon père a refusé bon nombre de prétendants, jugés soit-disant ''non dignes'' de m'avoir comme épouse. Certains n'avaient pas une fortune qui le satisfaisait, d'autres c'était le rang. Mon père se faisait un plaisir de monnayer clairement mon mariage. Et bien du monde sait désormais que ma main... Vaut de l'or. Au sens propre du terme. Drôle tout de même, ce que la main de la fille d'un vassal peut valoir chère. Mais, la beauté est un bien précieux, et trop peu commun. Celle des vierges à la chevelure d'or tend à s'éteindre. Et père a la chance de posséder sous son toit une digne représentante de cet idéal-là. Enfin, sous son toit... Je suis désormais la dame de compagnie de la fille Macleod, dame Saoirse. Il fallait bien qu'il puisse me trouver une activité... Et puis, être en sa compagnie me ferait sûrement rencontrer du beau monde. Du beau monde que je pourrais intéresser. J'avais promis à père, plus jeune, que j'épouserais un roi. J'étais bien naïve, une enfant. Désormais, je n'en suis plus une. Je n'épouserai peut-être pas un roi. Mais je n'épouserai pas un mendiant. Mère ainsi que lui, je les rendrai fiers. Je leur montrerai de quoi leur fille est capable. Et remporterai l'un des meilleurs partis du royaume. Après tout, le mariage n'est-il pas comparable à une compétition ?

pseudo ✘ tiramitsuu, comme le truc qui se mange. j'suis commestible aussi si vous voulez. prénom ✘ haha ! secret. seuls les vips l'auront. ~ âge ✘ seize-ans, bientôt dix-sept. où avez-vous trouvé le forum ? ✘ c'est une certaine personne avec un françois arnaud comme visage qui me l'a fait connaître. love u. comment le trouvez-vous ? ✘ pas beau, aussi moche que moi ! je suis modeste, je sais je sais. ~ présence sur le forum ✘ 4j/7. autre chose à dire ? ✘ i'm the holy daughter. rien que ça. - pardon mais j'ai toujours rêvé de le dire -

Oui ça s'apparente à une validation express, mais c'est parce que j'avais déjà lu l'histoire hier Une demoiselle très sympathique, une Lady digne de ce nom Et tu as une plume très agréable à lire

Bravo à toi mon enfant, comme tu dois le deviner : tout est parfait pour que tu puisses tranquillement te balader sur les terres d’Écosse. Avant toute chose, il va falloir faire quelques petites manipulations. Et oui ! Alors, pour commencer, nous te prions s'il te plaît d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas te le faire sucrer, sans le faire nous ne pourrons pas mettre à jour le bottin, puis aussi ta famille si tu as choisis un clan dans les annexes. Pour continuer va donc faire un tour du côté des liens, qui sait ça pourra t'aider à forger des affinités pour ton personnage et dieu seul sait quoi d'autres ! D'ailleurs en parlant d'affinités, si tu as envie de créer un scénario, ça se passe dans ce petit coin là sait-on jamais si l'envie te dit ! Et plus qu'un petit point à savoir, jette toi à l'eau en ce qui concerne le flood, y faire un petit tour pour bien s'intégrer et décompresser un petit peu.

Sur ce, tout le staff de WOTW te souhaite de bien t'amuser sur ce forum !
L’Écosse n'attend plus que toi.