nom ✘ MacGuffin prénom ✘ Sorcha. clan ✘ MacGuffin âge ✘ tentre-trois ans. statut ✘ mariée. famille ✘ aînée du chef de clan Chattam, mariée à Gabran MacGuffin, dont elle a eu deux enfants métier/rang ✘ Dame de la maison MacGuffin par épousaille avec son chef de clan qualités ✘ intelligente, rusée, avenante, charmeuse, charismatique. défauts ✘ hypocrite, perfide, (très) ambitieuse, orgueilleuse, mauvaise. loyal(e) envers ? ✘ Les MacGuffin et elle-même. groupe ✘ Lowlands. avatar ✘ Lotte Verbeek.

QUE PENSES-TU DE CETTE GUERRE ?
Quand le pouvoir en place devient obsolète et dénué d'autorité, n'est-il pas normal que les autres clans revendiquent à leur tour ce dernier en prouvant leur valeur et leur capacité aux yeux des autres concurrents ? La fidélité se mérite et s'entretient. En ce jour nous sommes face à une enfant incapable de conserver l'autorité précédemment établie, il est donc temps de démêler la chute actuelle pour rehausser le prestige de notre chère contrée. Bien sûr, sans chercher à rabaisser les autres clans, mon opinion s'oriente préférentiellement vers la maison MacGuffin, dont le Laird n'est autre que mon époux. Notre puissance est évidente et a été prouvée à plusieurs reprises surtout face à l'invasion des Vikings. Osez-dire que nous avons été un pilier dans la victoire serait quelque peu présomptueux mais d'une vérité qui ne peut être niée cependant. Nos terres sont également riches. Une chance certes mais peut-être également un signe qu'il serait temps de prendre en compte. Gabran n'est pas homme sans valeurs, force et constance. Sa modestie lui impose de ne pas désirer le titre qui pourtant lui revient et de souhaiter préférentiellement une paix illusoire qu'un règne efficace. Ma place m'impose de le soutenir et de l'emmener vers une route plus compliquée que son désir dénué d'ambition, cependant ses capacités pourraient lui permettre de faire face à autant de responsabilités et de s'investir avec autorité et assurance. Je ne suis pas la seule à appuyer sa candidature, la maison Chattam entière impose sa loyauté envers les MacGuffin, appui non négligeable et soutien considérable. Il va donc de soi que la Guerre ne semble pas encore finie mais que notre maison fera la nécessaire pour s'assurer de la victoire et de notre nom comme royauté du pays.

TU CROIS AUX LÉGENDES, À LA MAGIE ?
Les légendes ne sont jamais dénuées de vérité, sinon comment naîtraient-elles simplement sortie de l'esprit imaginatif d'enfants ou d'adultes en proie à une envie subite de faire parler les gens. Bien sûr, peut-être ne sont-elles pas toutes toujours cohérentes mais le monde recèle bien des surprises que négliger ne serait bénéfique pour personne. Pour ma part, un souvenir lointain me rappelle une nuit sombre où une petite flamme bleue s'est montrée à moi. Un feux follet peut-être ? En tout cas, cette réminiscence reste particulièrement régulière dans mon esprit et je ne compte pas fermer les yeux sur les signes et les richesses que parfois le destin place de manière inattendue devant nos yeux. En jouer et en profiter n'est pas dans mon intérêt cependant, ces légendes et la magie ne sont que des infimes partie du monde quémandant l'attention. Avoir les pieds sur terre et ne pas se baser uniquement sur cette science incomprise encore actuellement est un bienfait plus fructueux. Ne jamais oublier que cela existe est un fait mais user principalement de ses capacités propres est bien plus judicieux. Les signes peuvent apparaître mais ils peuvent également vous délaisser totalement. Ainsi, attendre serait une perte de temps et de moyen.

DES GOÛTS ET DES COULEURS, IL NE FAUT DISCUTER
Quels sont mes goûts personnels ? Vous savez, les femmes se doivent de pouvoir pratiquer les charges habituelles dans une maison noble. Pour ma part, l'intérêt que je porte aux histoires politiques de notre royaume m'importe bien davantage que de rester en dehors des affaires des hommes. Certaines femmes laissent la faiblesse de leur rôle l'emporter sur le manque de curiosité. Bien sûr, nos obligations nous imposent de rester en retrait pour laisser à l'homme l'opportunité de faire son devoir. Mais sa femme se doit de le soutenir et comment réaliser un tel acte si elle ne sait guère de quoi l'on parle ? Ainsi, depuis nombreuses années j'ai pu voir et apprendre les méandres subtiles du jeu de pouvoir qui me fascinent grandement. Bien sûr, dans ma propre maison les connaissances m'étaient imposées pour être parée et directement faire face aux exigences qui allaient se dérouler une fois mariée. Cependant, pour se faire, le maintien d'une lady, les manières et son comportement se doivent d'être connus et sus dans les moindres détails tentant d'en jouer à la perfection. Ainsi, je me dois d'apprécier l'art de la couture, mais également l'art de la réception et de l'accueil au sein de la demeure, l'art de l'éducation - malgré que seul l'une de mes filles ne réponde à mes attentes-, l'art de l'élégance et bien sûr de la perfection visuelle. J'apprécie énormément jouer de mon image. En réalité, mes attentes sont mes plus grandes préoccupations et pour se faire, il m'est impossible de ne pas m'offrir les moyens à disposition pour y parvenir. Tout ceci n'est qu'un jeu que je maîtrise de plus en plus avec subtilité et doigté. Le but étant tout simplement de gagner. Plus c'est compliqué et plus je m’attèle à obtenir satisfaction. En réalité, je n'apprécie guère m'écraser. Le tout est de toujours connaître les limites à ne pas franchir, rester à la lisière, un jeu d'observation. Une femme ne fait cependant pas le travail d'un homme bien évidemment, mais l'aider dans ses réflexions se doit d'être particulièrement judicieux. C'est ce que je tente d'apprendre à mon aînée de fille. Je sens mon sang couler en elle, elle est la chair de ma chair pour mon plus grand contentement et ma plus grande fierté. Mais je n'en ai pas fini, mon époux me donnera un fils que nous assoirons sur le trône.

ET DANS DIX ANS ?
L'avenir est encore en construction, il l'est toujours. Beaucoup d'événements peuvent encore se dérouler, beaucoup de surprises, des attentes non comblées ou des efforts récompensés. J'aspire davantage au dernier point car être reine est bien mon objectif au côté de mon tendre époux qui aurait obtenu victoire et consentement des autres clans concernant sa place sur le trône d'Ecosse. Mon objectif a toujours été d'apporter à la maison MacGuffin la place qui lui revient et de la faire fructifier autant que cela est possible. Pourquoi se contenter de peu quand avoir bien plus est à notre portée. C'est bien pour cela que je m'investis corps et âme à l'apogée de notre maisonnée.
En tant que femme dévouée, j'attends également patiemment le moment où mon corps lui fournira un héritier digne de ce nom. Bien sûr, un fils est déjà présent dans la vie de Gabran mais ce dernier est né de son ancienne femme et porte en lui le deuil d'une mère aimée, d'une épouse absente. Un garçon issu de notre alliance actuelle serait davantage fructueux pour la cohérence et l'unité à conserver d'une Ecosse rudement menée par les soins de mon époux. Un garçon portant l'étendard Chattam et MacGuffin dans ses veines ne serait qu'un parti idéal pour diriger à la suite de son père. Lorsque ce jour arrivera, je veillerai à épauler mon enfant et à l'aider autant que cela se peut pour qu'il hérite des valeurs nécessaire à un futur roi.

"Ma fille, ta beauté est un don que tu te dois de préserver mais également d'user. S'il t'a été donné, c'est que ton dessein est tracé pour t'imposer. Mais n'oublie jamais que ce n'est qu'un premier pas, le charisme et l'intelligence qui se trouvent derrière te permettront de percer davantage les barrières. L'esprit est à entretenir tout autant que la représentation de celui-ci aux yeux du monde."


Ces paroles furent de celles que mon père proféra et qui restèrent à tout jamais gravées dans mon esprit. Mots qui encore entraînent un frisson dans ma chair. Ligne directrice de ma vie. Mon paternel est un homme avisé qui a su dès mes premiers pas m'indiquer la marche à suivre pour créer un destin digne de mon nom. Déjà enfant, je m'évertuais à déployer un rôle qui serait celui de toute une vie. Certes, celui d'une femme. Mais pas n'importe laquelle. Ce qu'on attendait de moi était que j'use et abuse des bienfaits que la vie m'avait offerts : la beauté et l'intelligence. Mon père avait de grands projets, une ambition acérée transmise désormais à mon sang et à mes pensées. En tant qu'aînée, je devais de porter notre nom vers le rang qui était le sien. Peut-être me diriez vous que je l'ai perdu désormais au profit d'un mariage, mais vous vous trompez lourdement. En tant que femme, je ne peux amener seule mon nom vers les hauteurs du pouvoir. Un époux est nécessaire. Plusieurs années furent obligatoires pour que je déploie toutes les connaissances qu'on poussait à se créer et s'enraciner dans mon esprit. Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce ne fut pas que ma mère qui m'apprit l'art de l'élégance et du pouvoir de l'attirance visuelle que mon physique pouvait entraîner. Peut-être était-ce justement sa position d'homme qui permettait plus aisément de me dire les défauts que je pouvais encore porter au fil des années. Avoir une vie insouciante d'enfants inconscients n'était pas pour moi. Mais très vite je compris que c'était ce qui me plaisait. L'image de la femme faible et soumise n'était qu'une partie de l'iceberg. Une partie bien infime que seule la concernée ne pouvait que contrecarrer. C'était la vraie partie de mes capacités. Rester à ma place aux yeux du monde, tirer les ficelles autant que possible dans l'arrière boutique. Etre aussi avisée et concernée que mon époux, lui dévoiler mes pensées les plus réfléchies, l'aider à gravir les échelons pour un jour se retrouver peut-être au sommet de l'autorité. Qui sait... Avoir des projets de peu d'envergure ne servait qu'à stagner et ne pas savoir jouir des opportunités régulièrement déployées devant les yeux qui pouvaient les distinguer.

A douze ans, j'étais quasiment prête à affronter la dure réalité que je ne côtoyais que de biais aux côtés de mes parents. Mais ce fut à quatorze ans que mon destin se proclama officiellement. Une information de toute importance était parvenue aux oreilles de mon père. Gabran MacGuffin était veuf. Comment ne pas résister à l'envie puissance de me mettre à la place de la défunte épouse quand on savait que ce dernier était chef de clan depuis maintenant cinq années le mettant à la tête des Lowlands. Un parti attendu avidement et pour lequel l'insistance de mon père porta clairement ses fruits. Lâcher le morceau ne fut pas permis tant que l'obtention d'une réponse favorable ne soit pas donnée. Ainsi, ce fut sans surprise mais avec un contentement certain que je devins son épouse. Je n'étais pas assez aveugle malgré mon âge pour ne pas entrapercevoir la détresse du deuil qu'il subissait. Mais cela n'avait que peu d'importance, le temps finirait forcément par m'accorder de l'intérêt à ses yeux. Je ferais en sorte que ce soit le cas. Nier qu'il était beau parti n'était pas évident, j'avais la chance de pouvoir être mariée à un homme qui portait la définition physique de ce mot. En plus de cela, ses terres étaient un avantage non négligeable. Bien sûr, cette union fut prise comme une trahison de notre maison envers les DunBroch dont nous étions vassaux puisque la loyauté des Chattam fut désormais offerte à Gabran. Mon père espérait énormément de cette union, mais bien sûr cela ne pouvait être compris par des ignorants. Mais ce n'était pas de notre devoir de leur expliquer. Ce mariage avait eu lieu, j'étais désormais une MacGuffin et je comptais bien porter ce nom avec fierté et vers un sommet qui lui était destiné. Après tout mon éducation s'était avérée axée sur ce point, je devais de répondre aux attentes. Ce ne fut cependant pas aussi aisé que j'aurais pu le croire. Bien sûr ma beauté ne laissait pas indifférente, mais mon intelligence et mon implication semblait proférer des inquiétudes et des méfiances autour de moi. "Arriviste arrogante" souvent étaient les mots qu'on associait à mon nom. C'était les plus élégants car d'autres beaucoup moins ne m'avaient nullement échappés. Mais quelle importance ? Toutes ces personnes ne pouvaient me détrôner de l'endroit où je comptais bien faire mes marques et les graver de mes ongles avec force. La difficulté ne m'avait jamais effrayée, l'expression de mes sentiments n'ayant jamais été dans mes cordes. Perdre pieds n'apportait aucune victoire, ne faisait guère avancer. Avoir de l'assurance, garder la maîtrise de soi-même et surtout jouer d'hypocrisie telle une actrice principale c'était surtout ces différents atouts qui me permirent d'obtenir satisfaction. Très rapidement je compris que les enfants seraient la seule solution pour obtenir tranquillité auprès des personnes qui s'amusaient à me voir encore point engrossées. Le soulagement fut certain lorsqu'apparut la première : Eileen. Mon premier enfant, ma première fille, ma fierté. Sa naissance m'enracinait encore davantage dans la maison maintenant que j'avais offert le premier fruit de notre union à Gabran. C'était un premier pas important mais le chemin tracé restait encore long car malheureusement, cette aînée ne pourrait guère succéder à son père. Pourquoi ? Parce qu'un autre enfant existait déjà pour mon plus grand regret. Un garçon de plus, qui était donc l'héritier direct de la maison, provenant de l'union de Gabran et de sa défunte femme qui restait tant présente dans son esprit malgré mes efforts incessants. Cela ne m'empêchait point d'aimer ma fille mais surtout parce qu'elle serait le fruit de mes projets ambitieux. Mais un fils s'avérait en réalité plus important dans un second temps car pour me débarrasser du successeur officiel., ma fille ne suffisait pas, le sexe aurait toute son importance en plus de toute la ruse que j'allais devoir déployer. Ainsi, quand l'enfant qui suivit, et que le sexe fut déterminé, je ne pus que ressentir une légère déception. Une autre fille. Et pour couronner le tout, cette dernière serait une franche déception avec les années. Mais en cet instant, c'était surtout l'absence de fils qui pesait que la personnalité qui allait grandir et se développer dans ce bébé nouvellement arrivé.

La suite des événements entraînèrent des complications particulièrement difficiles. Jamais je ne remercierais assez mon père de m'avoir faite telle que je suis : forte et indépendante. En réalité, jamais je n'aurais pu réaliser la souffrance de la perte d'un enfant. Bien sûr que je ne devais guère m'arrêter à cela. Perdre un enfant, un fils, cela pouvait arriver, ce n'était qu'une complication. Le destin avait voulu qu'il ne soit pas assez fort pour affronter la réalité et la vie. Et bien soit, il ne suffisait que d'un second enfant pour combler ce deuil. Aisé à penser, mais pas forcément à supporter seule lorsque tous les regards s'étaient taris. Sans compter que Gabran n'était pas le mari aimant des comptes de fées. Cela m'était bien sûr totalement égal puisque pour ma part, ce n'était pas son coeur que je désirais, simplement son nom et son pouvoir. Mais supporter un deuil ainsi pour la première fois, seule d'un enfant désiré, il me fallut l'affronter avec force mais beaucoup de difficultés. Sans compter que je dus par la suite conquérir à nouveau mon époux qui vivait particulièrement mal cette mort. Mais perdre espoir n'était pas du tout dans mon caractère, je voulais un fils et je l'aurais. Rien ne m'empêcherait d'obtenir satisfaction. Ainsi très vite je remis pied à l'étrier et je fus avec le temps de nouveau enceinte. Mais le destin avait décidé de s'acharner et il emporta mon second fils destiné à devenir l'héritier officiel de la famille. Cela brisa énormément la relation avec Gabran que j'avais construite pendant tant d'années. CE deuil entraîna davantage une colère pour ma part qu'une affliction. Pourquoi devais je supporter cette souffrance à nouveau et perdre tout ce que j'avais construit ? Reprendre pied prit plus de temps mais la présence de ma fille aînée me redonna espoir. J'avais bien réussi à obtenir ce que je voulais à travers elle, je ne pouvais qu'arriver à avoir un fils. C'était obligatoire. Peu importe le temps qu'il me faudrait pour en arriver là. Mon corps me rendrait ce que je désirais. Vivant cette fois !

Les années se sont écoulées et la politique de l'Ecosse prend des formes de guerre. Notre clamp s'est allié aux Nothern Highlands pour pouvoir défaire la second union représentée par les Western Hughlands et les Eastern Highlands. Cela n'a fait qu'accroître mon ambition car le tournant qu'apporterait cette guerre permettrait de favoriser un de ces partis et d'assoir automatiquement en nouveau souverain pour notre pays. Merida était bien trop jeune et incompétente pour diriger, je l'aurais bien affirmé il y a plusieurs années maintenant. Mais toute chose arrivait à point quand la patiente était notre alliée. Une nouvelle place sur le trône venait de se créer et l'optique était d'y placer Gabran. Un Gabran bien trop mou à mon goût alors que son nom avait toute l'opportunité de se trouver à cette place. Mais il n'aspirait qu'à une paix apparente, chacun chez soi. Ce n'était pas ma façon de penser. Les capacités dont il bénéficiait pouvait aisément le faire valoir comme représentant efficace de l'Ecosse. Je compte bien faire en sorte que cela se réalise. Bien sûr, je resterais à ses côtés pour l'épauler et le soutenir... Mais pour cela, un fils m'est toujours nécessaire. Les années se sont écoulées avec rapidité et la conquête de cet homme dans ma couche, à nouveau, se montre plus laborieuse que je ne l'aurais cru. Mais je ne perds pas espoir et je compte bien obtenir satisfaction. Sans compter que je ne tiens pas rester la femme que le mari ne touche plus. L'infidélité ne m'intéresse pas car cela n'entraînerait que complication et surtout le pêché sur notre maison. Je ne suis pas de celles qui prennent le premier venu pour satisfaire des pulsions animales. Je peux les contrôler et attendre d'obtenir ce que je désire, c'est-à-dire mon époux. Je prends mon mariage très sérieusement. C'est bien pour cela qu'il ne peut être que le seul à imposer sa virilité à mon corps. Et surtout à me fournir l'héritier que je compte bien voir expédié comme héritier peu importe les tactiques qui devront être mises en place pour écarter le premier né !

pseudo ✘ Loli. prénom ✘ Laure-Line. âge ✘ 26 ans (on ne rajeunit pas hein...). où avez-vous trouvé le forum ? ✘ C'est Gabran qui m'a dit de ramener ma fraise sous peine de me brûler vif sinon ! . comment le trouvez-vous ? ✘ vraiment bien ! J'ai hâte de m'y plonger plus intensément ! . présence sur le forum ✘ heu... je dirais pour être sûr 5j/7. autre chose à dire ? ✘ Je suis donc amenée par Gabran et je pense que ma venue était annoncée. Pour être sûre de réserver officiellement le personnage je poste déjà ma fiche en espérant que ça convienne >< je m'y attelerai aussi vite que possible la semaine prochaine ! En vous remerciant d'avance de me garder le personnage !