nom ✘ Cunningham, pour le moment. Mais il changera sous peu, apparemment. prénom ✘ Stheane. Il me plaît bien, je ne m’en suis jamais plainte. Mes parents n’avaient pas si mauvais goût, je suppose. clan ✘ Cunningham, vassal des MacGuffin. âge ✘ J’ai dix-neuf années. Belles ou pas, tout est relatif. statut ✘ Je suis fiancée depuis peu. Et depuis encore moins longtemps, je sais que c’est à l’héritier des MacGuffin. Autant vous dire que mon père n’a pas visé trop mal. Du moins, ce n’est pas un clan miséreux, autant dans la richesse que dans la direction des terres et de sa place dans la bataille pour le trône. famille ✘ Je suis la fille de Brath et Darnya Cunningham (47 et 44 ans) et suis la sœur de Carson Cunningham (28 ans), Eilidh Cunningham (25 ans), Kester Cunningham (20 ans) et Niven Cunningham (15 ans). métier/rang ✘ Je suis la dernière fille des héritiers Cunningham. En dehors de ça, je n’ai jamais eu de véritable métier. Je me débrouille avec des armes simples qui ne font pas froncer les sourcils de mon père, et ramène donc du gibier à mes heures perdues. qualités ✘ Si j’en crois mon cher frère, je suis quelqu’un de réfléchi. Peut-être un peu trop mature pour mon âge. Je sais peser mes mots et je suis consciente des choses lorsqu’elles vont trop loin ; je sais rester à ma place. Mais j’ai tout de même mon caractère et je ne me laisse pas faire. De là à dire que je peux me rebeller contre mes parents, contre cette guerre, contre les hommes, certainement pas. Je ne suis pas folle. Je suis douce et j’aime apporter mon aide. J’ai l’assurance qu’il faut même si cela peut me porter préjudice. Je suis habile et tout à fait débrouillarde. Je ne cherche que le bien des personnes qui me sont chères et en aucun cas je ne peux leur faire défaut. Je sais pardonner mais il en faut beaucoup pour regagner ma confiance. Je suis une oreille attentive si l’on a besoin de se confier. Je suis assez joyeuse dans tout ce que je fais et si je sais cacher mes peines, je n’aime pas faire semblant trop longtemps. Je n’ai pas l’âme noircie et si l’on peut me penser encore innocente, il n’en est rien. défauts ✘ Si je suis souvent calme et que je reste à ma place, je me mêle un peu trop de ce qui ne me regarde pas. Je suis assez têtue, et peux agacer rapidement. Enfin, tout dépend de la personne que j’ai en face de moi. Je ne supporte pas que l’on me cache des choses lorsque je suis impliquée de loin ou de près dans une histoire. Je suis prête à questionner la personne jusqu’à ce qu’elle me dise de quoi il retourne. Je n’aime pas rester dans l’ombre ; si je suis discrète, je ne supporte pas que l’on ne me remarque absolument pas. Tout comme je n’aime pas les tensions, si j’ai un quelconque souci avec mes frères et sœurs j’irais leur dire ce qui ne va pas et les forcerais à parler, pour mettre les choses à plat. Ce qui ne leur plaît pas toujours. loyal(e) envers ? ✘ Ma famille, les Cunningham, et les MacGuffin. Je serais bientôt l’une des leurs de toute manière, autant ne pas me les mettre à dos. groupe ✘ Lowlands avatar ✘ Eleanor Tomlinson ♥

QUE PENSES-TU DE CETTE GUERRE ? Pas grand-chose, à dire vrai. Même si j’aime savoir les choses qui ne me regardent pas, je n’ai jamais voulu m’intéresser de trop prêt à la guerre. C’est quelque chose qui me dépasse et que je ne comprendrais jamais. S’il devait y avoir au départ une certaine utilité à tout ceci, aujourd’hui j’en doute fortement. Je soutiens ma famille et je serais fidèle aux MacGuffin jusqu’au bout. Mais les batailles me font peur et ne nous renvoient que des malheurs. A quoi bon ? Je n’en vois pas là d’intérêt. Il suffit de nous entretuer au sein du royaume, le résultat sera le même. Mais ça, je me garderais bien de le dire.
TU CROIS AUX LÉGENDES, À LA MAGIE ? Ce n’est pas un secret, les Cunningham ont toujours cru aux légendes. Certains plus que d’autres, certes, mais c’est ainsi dans nos croyances, nous sommes très attachés à cette « magie ». Est-ce qu’on l’a réellement vue, est-ce qu’on la pratique, qu’en sais-je ? En ce qui me concerne, j’aime à dire que c’est une chose merveilleuse. Comme tout, elle a ses limites ; lorsqu’il s’agit de faire du mal, ça n’est jamais joyeux. Que peut-on y faire ? Il n’est pas possible de créer une chose en l’obligeant à n’être que positive ou que négative. Dans l’hypothèse où la magie fut créée, bien entendu. J’attends le jour où elle se manifestera à moi. Je suis très curieuse et toutes ces légendes m’enchantent. Beaucoup diraient que je suis folle ; mais pas dans le clan. Après tout, si Dieu existe, pourquoi pas la magie ?
DES GOÛTS ET DES COULEURS, IL NE FAUT DISCUTER J’apprécie les longues promenades au calme, loin de mes parents et de mon frère Carson. Ces moments où je m’aère l’esprit, où j’oublie la guerre, les morts, les mariages arrangés qui ne présagent aucun amour. J’aime conter des histoires, imaginer des dragons, des aventures sur des navires qui partent en voyage, ne sachant pas où ils amarreront. Je passais un temps fou à faire rêver mon jeune frère ainsi. Il se prêtait au jeu et nous devenions pirates et princesses, au grand dam de nos parents. Ma couleur favorite est le bleu ; mais il se trouve que je n’ai que très rarement des habits confectionnés dans cette couleur, je n’ai jamais su pourquoi. Qu’y-a-t-il de plus beau que le ciel azur ? La nuit peut-être, nous offrant un spectacle étoilé. Si je ne suis pas réellement autorisée à sortir la nuit tombée, je reste à ma fenêtre bien souvent pour admirer cette merveille. Cela m’apaise énormément.
ET DANS DIX ANS ? Mon avenir est relativement tracé, déjà. Je suis promise à l’héritier des MacGuffin, je ne me vois donc pas autrement que mère de ses enfants, peut-être dirigeant le clan à ses côtés. Je pourrais très bien être veuve, dans dix ans, le savoir mort au combat, avoir été relayée au rang de servante, femme de chambre, gouvernante, qu’en sais-je. Je ne peux même pas savoir si ce mariage sera positif. S’il y a possibilité que j’en sois heureuse. Je ne sais absolument pas si cet homme est doux ou colérique, manipulateur ou sincère, violent ou attentionné. Même l’année qui arrive, je ne peux la prédire. Alors dix ans… ?

A plat ventre, je m’avançais à travers le champ en cachant ma position. Les brins de blés commençaient à se faire hauts et pouvaient depuis peu contribuer à nos aventures. J’étais un serpent, j’étais tout prêt de ma proie et surtout, j’étais particulièrement discrète. Je voyais les petites jambes potelées s’avancer, à quelques pas de moi à présent. Si elles ne se jetaient pas directement sur mon chemin, elles étaient tout de même sur une trajectoire qui me permettait d’arriver à mes fins. Encore quelques mouvements, et elles seraient à ma portée. Je bondis et m’agrippai aux hanches de mon frère que je fis tomber avec moi. « Attrapé ! T’es mort, j’ai du venin. » Niven fit la moue et s’assit en croisant les bras. Il boudait toujours quand il n’était pas assez bien caché, ou que je le lui tombais dessus trop rapidement. « C’est pas juste, t’as toujours du venin. » je me mis à rire. « T’as qu’à mieux choisir tes animaux, c’est pas un chien qui va m’empoiser. » Je le regardai souffler. S’il avait beaucoup d’imagination, il avait toujours besoin que je le pousse pour qu’elle s’exprime. Il planta ses yeux dans les miens avec une soudaine pointe de malice ; je me demandai à quoi il venait de penser, mais je n’eus pas à attendre longtemps. Il se mit à écarter les bras en faisant de grands yeux et déclara « La prochaine fois, je serais un grand dragon, avec des ailes et du feu, et tu vas mourir ! » J’ouvris la bouche, amusée. C’est qu’il avait plus d’un tour dans son sac ! « Pas si je suis un dragon à deux têtes ! » Et je me jetai sur lui pour le torturer de chatouilles comme je savais si bien le faire. Il se roula en boule en essayant d’échapper à mes mains, mais était malgré lui tordu de rire, clamant entre deux souffles que les dragons à deux têtes, ça n’existait pas. « Qu’est-ce que tu en sais ? » Il était chahuté dans tous les sens et n’arrivait pas à répondre, mais qu’importait. Reprenant mon souffle, je lui laissai un peu de répit mais la nouvelle salve de guilis ne se fit désirer. Nous finîmes complètement allongés, écrasant les brins de blés, regardant le ciel. Imaginer ce que représentaient les nuages était une de nos activités favorites. Mais nous ne pûmes en profiter bien longtemps ; d’un coup, une tête apparut dans mon champ de vision et je dus me redresser, entraînant Niven avec moi. Aïe. Je ne cherchai même pas à faire l’enfant avant de me tenir debout devant notre père, donnant l’exemple au petit dernier. « Vas-tu dont cesser de t’aventurer hors du château en prenant ton frère avec toi pour faire je ne sais quoi ? Comprendras-tu que ce n’est point de ton rang et que les enfantillages doivent s’arrêter ? » Evidemment. Droite comme un I, j’osai lever les yeux vers ce chevalier avant de les rabaisser prestement. Son expression était tout sauf bienveillante et je ne souhaitais pas m’attirer de nouveaux ennuis. « Je n’ai aucune envie de devoir te chercher dans tout le domaine. Me suis-je bien fait comprendre ? » Sans aucune parole, j’hochai la tête. J’étais une princesse, une dame de haut rang, disait-on. Mais encore une enfant. Et pourtant, jouer m’était déjà interdit. Qui allait ouvrir l’imagination de Niven ? Certainement pas Père. J’attrapai la main de mon frère et nous le suivîmes jusqu’au château qui, en fait, n’était pas loin du tout. Le champ où nous nous trouvâmes le bordait simplement. De quoi s’en faire pour rien. J’aurais pu proposer qu’un domestique nous accompagne, la prochaine fois, mais c’était peine perdue. Nous restâmes silencieux sur le trajet et je promis d’un simple geste à Niven que nos aventures n’étaient pas terminées.

J’avançai à travers ces couloirs d’un pas assez pressé. Si j’avais peur de ce qui m’attendait, je ne devais pour autant pas traîner la patte. Père m’avait convoquée et je n’avais su deviner de quoi il s’agissait aujourd’hui. Les réprimandes, je connaissais. Ne pas en savoir la potentielle raison, c’était largement plus rare. Généralement, je me faisais remettre à ma place. Non, cette promesse silencieuse à Niven ce jour-là n’avait pas été transgressée. Si j’avais respecté la parole de Père en ne l’emmenant plus seule en dehors du château, nous continuions à nous amuser au sein même de ses couloirs. Nous n’étions pas des rebelles, ni même des enfants exécrables. Nous avions juste envie de nous amuser en laissant parler notre imagination. Mais peu de choses étaient de notre côté. Père ne nous supportait pas, Mère était de son avis même si elle se montrait plus douce, et notre plus grand frère, Carson, était une copie de ce cher Brath Cunningham. Ne restait qu’Eilidh, notre sœur, et Kester, âgé seulement d’un an de plus que moi. Si Eilidh ressemblait beaucoup à notre mère, elle était encore plus compréhensive. La royauté lui dictait son comportement mais elle était bien plus compatissante à mon égard. Elle ne cessait de me supplier de mieux me tenir afin que je ne subisse plus de réprimandes. Oh, je ne fus que très peu de fois frappée. Et quand je dis frappée, je parle de claques de la part de Père. J’ai appris à mes dépends qu’il ne souhait qu’une lignée de garçons, et que s’il avait eu Eilidh et qu’il arrivait à l’aimer, il ne supportait que très peu ma vue. Je lui rappelais le fait qu’il aurait pu avoir un autre garçon, l’entraîner à l’art du combat et faire sa fierté. Mais non, il n’avait eu que Stheane, la petite princesse désobéissante qui embarquait le petit dernier dans ses délires malheureux. Petit à petit, je m’étais détachée de Niven. Surtout quand j’appris la vérité, en fait. Non pas que je n’aimais plus mon frère, loin de là, et nos aventures me manquaient. Mais un certain dégoût envahi mon esprit et je n’avais plus l’envie de donner de bonnes raisons à mon père pour devoir à nouveau mettre les points sur les I. J’avais appris dans mon coin à manier quelques armes, petites, puisque ce n’était pas de mon rang. Mais cela me permit d’aller chasser un peu, afin de ramener du gibier aux cuisines. Voilà comment j’occupais mon temps. Je pouvais contribuer à la vie du château et je ne trahissais pas vraiment mon image. Je ne me baladais pas avec une épée, entendons-nous bien. Je savais me tenir, désormais. Plus ou moins, disons. Et à chaque fois, j’étais accompagnée d’un des hommes de main de mon père ; de quoi le « rassurer ». Si ce n’était pas Carson qui insistait pour m’escorter et me protéger puisque je n’en étais pas capable, selon lui. Au fil des années, je trouvai refuge dans les bras de mon autre frère, Kester. Si j’aimais passer du temps avec Niven, je ne souhaitais pas l’encombrer de mes soucis. C’est avec Kester que j’appris le dégoût de mon père à mon égard. Que j’endurais la dureté de celui-ci, de ma mère, et de Carson. Que je parlais d’avenir, de craintes, de joies. Que je pleurais. Que je me disais « demain, ça ira mieux ». Que j’imaginais une échappatoire. Que je pensais être forte. Oui, c’est avec mon frère que je pouvais tout affronter. S’il ne me guérit point, il savait panser mes blessures. Celles qui parsemaient mon âme et prenaient un malin plaisir à la tordre. Celles qui riaient de moi et me rappelaient chaque jour que je n’étais qu’une erreur vivante. Si nous n’étions pas jumeaux, le résultat était tout comme. Cette année qui nous séparait, Kester et moi, ne s’était jamais manifestée. Nous ne jouions pas comme j’avais passé mon temps à vivre des aventures avec Niven, mais je ne pouvais être plus proche de quelqu’un que je ne l’étais de Kester. C’était vital, fusionnel. Nous étions frère et sœur, meilleurs amis, confidents. Une chose que je n’aurais crue possible après toutes les épreuves que mon père et ses sbires m’avaient fait passer.

C’est en pensant à mon frère que je poussai cette lourde porte ouvrant sur le faciès de mon père. Peut-être à peine plus avenant qu’à l’ordinaire. Je m’abaissai quelque peu afin de le saluer, puis joignis les mains en croisant les doigts. Je pris une inspiration. « Vous m’avez fait demander ? » Je le voyais déjà répondre « Évidemment, sinon tu ne serais pas ici. Ce que tu peux être sotte. » mais il n’en fut rien. Au lieu de cela, il se détacha de la fenêtre à côté de laquelle il se tenait, attendant ma venue. Je le regardai faire quelques pas en ma direction, de plus en plus perplexe quant à la raison de ma présence. Il se planta devant moi, semblant chercher ses mots. Et la sentence tomba d’un coup, d’un seul. « Je t’ai promise en mariage. » Les mots firent écho dans ma tête, comme si elle avait du mal à assimiler l’information. Mariage. Un homme. J’allais épouser un homme. J’allais être liée à quelqu’un ; que je ne connaissais peut-être même pas. Mais comme si cela ne suffisait pas, j’accusai le coup lorsque dans un souffle, Brath finit de m’achever. « Tu vas quitter le château. » Sans m’en rendre compte, j’ouvris la bouche ; rien n’en sortit. Les émotions étaient mélangées, indescriptibles. Tout tournait dans ma tête, me démontrant l’atrocité de la chose, ses avantages, ses inconvénients, ce qu’elle impliquait, tout, absolument tout ; mais je ne parvenais pas à comprendre ce qu’elle me montrait. Je n’arrivais pas à quitter les yeux de mon père et finalement, je ne parvins qu’à bégayer un simple et faible « Bien. » avant de faire demi-tour et m’enfuir par cette porte devenue condamnatrice. Déchirement dans mon cœur. J’avançai dans ce couloir froid qui me semblait bien étroit soudainement, trébuchant, les mains levées en face de moi. Je n’y voyais presque rien, et ce fut au bout de quelques mètres que je ne me rendis compte de la présence de larmes le long de mes joues. Larmes qui me brouillaient la vue et se déversaient sans que je ne les commande. Un pas, puis un autre, et ainsi à travers un bon tiers du château. Je passai devant des chevaliers et des domestiques qui s’interrogeaient sur mon état, certains plus inquiets que d’autres. Les suivantes, en particulier, élevaient la voix et j’entendais régulièrement des « Dame Stheane, que vous arrive-t-il ? » mais elles n’eurent aucune réponse. J’étais incapable de comprendre ce qu’il se passait et j’avançais telle une automate sans but. Simplement ce but, inconsciemment, je le connaissais. Je déboulai dans une chambrée, fonçant droit sur Kester qui paniqua en me voyant. Je tombai dans ses bras alors qu’il me prenait le visage. « Que se passe-t-il ? Pourquoi pleures-tu ? » Je ne parvenais pas à tenir droite, je voulais m’écrouler, ne plus jamais me relever. Le mariage, en lui-même, n’était pas trop mal. Quitter le château n’était certainement point le plus difficile non plus. Me détacher de mes parents et leurs regards insupportables sur moi était tout ce que je pouvais souhaiter de mieux. Mais me marier signifiait une chose plus profonde que simplement quitter ma demeure et mes terres : quitter Kester. Et cela, je ne pouvais l’endurer. Pas maintenant. Pas après tout ce que nous avions traversé ensemble. Pas avec cette nouvelle vie qui s’annonçait, dont je ne connaissais même pas la couleur. Je secouai lentement la tête, m’efforçant de reprendre mon souffle. Puis je levai les yeux vers ceux de mon frère. « Je vais me marier. » Je n’avais plus le goût à rien ; même les larmes ne venaient plus. Ne restait que les précédentes qui avaient trempé mes joues. Je déglutis, me donnant du courage pour affronter le regard de Kester. « Je m’en vais. » Père avait donc réussi à se débarrasser de moi. Qui savait à qui il m’avait promise ? Quel sort le mariage me réservait-il ? Je n’en avais pas la moindre idée et j’allais avoir le temps d’y réfléchir. Mais en cet instant, je ne pensais plus à rien. Rien, excepté le vide que mon cœur allait connaître.

pseudo ✘ Ysea, Mermaid, Monmon, Domdom prénom ✘ Toujours Manon. âge ✘ Toujours 21 ans. où avez-vous trouvé le forum ? ✘ Bazzart, Aindy, toussa. comment le trouvez-vous ? ✘ HAHA présence sur le forum ✘ 7j/7 sauf exceptions. autre chose à dire ? ✘

Tout est parfait, comme d'habitude. Ta plume est toujours aussi uabzhyuijabgzhiuah. Rebienvenue, tu connais la maison ma chouquette.

Bravo à toi mon enfant, comme tu dois le deviner : tout est parfait pour que tu puisses tranquillement te balader sur les terres d’Écosse. Avant toute chose, il va falloir faire quelques petites manipulations. Et oui ! Alors, pour commencer, nous te prions s'il te plaît d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas te le faire sucrer, sans le faire nous ne pourrons pas mettre à jour le bottin, puis aussi ta famille si tu as choisis un clan dans les annexes. Pour continuer va donc faire un tour du côté des liens, qui sait ça pourra t'aider à forger des affinités pour ton personnage et dieu seul sait quoi d'autres ! D'ailleurs en parlant d'affinités, si tu as envie de créer un scénario, ça se passe dans ce petit coin là sait-on jamais si l'envie te dit ! Et plus qu'un petit point à savoir, jette toi à l'eau en ce qui concerne le flood, y faire un petit tour pour bien s'intégrer et décompresser un petit peu.

Sur ce, tout le staff de WOTW te souhaite de bien t'amuser sur ce forum !
L’Écosse n'attend plus que toi.